Les 60 meilleurs proverbes vietnamiens
- Le temps est ce que tu en fais.
- Le passé ouvre les voies de l’avenir.
- Faute de riz, on mange de la bouillie.
- L‘habileté ne saurait vaincre la sincérité.
- Venir en aide aux autres, c‘est s‘enrichir.
- Le miel tue la mouche, à force de douceur.
- Remède amer guérit, parole sincère blesse.
- La vraie source du bonheur est en son cœur.
- À éviter les éléphants, il n’y a point de honte.
- À force de couler, l’eau finit par user la pierre.
- À chaque lampe d’éclairer son coin de maison.
- Bonne réputation vaut mieux que beaux habits.
- Jeune il vole un poulet, vieux il volera un bœuf.
- Le buffle attaché n’aime pas le buffle qui broute.
- La loi n’a pas d’égards pour les parents ou amis.
- La vérité n’est pas toujours agréable à entendre.
- Le glaive a deux tranchants, la langue en a cent.
- Du bois solide vaut mieux que du bois bien peint.
- À vouloir gagner des éloges, on perd son souffle.
- La critique est facile mais l’art est plus compliqué.
- Quand on est honnête, on ne craint aucun danger.
- Il faut endurer avec courage les rigueurs du temps.
- Entre les quatre mers, tous les hommes sont frères.
- L’homme crée le bien, le bien ne crée pas l’homme.
- Les murs ont des oreilles, les cloisons ont des trous.
- Quand on a commencé un travail, il faut le terminer.
- Cent choses entendues ne valent pas une chose vue.
- Ne te noie pas dans le passé, nul ne peut le changer.
- Pour entretenir l’amitié, entretenez bien vos clôtures.
- Le riche devient sourd et le puissant devient aveugle.
- Méfie-toi de l’argent qui pèse plus lourd que l’homme !
- Un bambou devenant vieux, il est difficile de le courber.
- Frères et soeurs sont aussi proches que mains et pieds.
- Ne te mêle pas d’aider l’éléphant à porter ses défenses.
- Apprendre, c’est apprendre à faire de soi un être humain.
- Pense à celui qui a planté l’arbre dont tu manges les fruits.
- Les buffles qui arrivent en retard boivent de l’eau troublée.
- Dès qu’il a franchi le pont, le diable en enlève les planches.
- À force de sortir la nuit, on finit par rencontrer les fantômes.
- La mandarine a fait la faute, et c’est l’orange qui doit payer.
- À l’arbre droit, l’ombre droite. À l’arbre tordu, l’ombre tordu.
- Tout arbre qui vit en tranquillité finit un jour par être secoué.
- L’ordre du roi pèse moins lourd que les coutumes du village.
- Cent hommes habiles ne valent pas un homme expérimenté.
- Le ciel qui a créé l’éléphant a aussi créé l’herbe pour le nourrir.
- À défaut d’éléphant, on prend le buffle pour l’animal le plus gros.
- L’homme crée la fortune, mais la fortune n’a jamais créé l’homme.
- Quand buffles et bœufs s’affrontent, mouches et moustiques meurent.
- L’homme vulgaire s’entête même avec un coup de maillet sur le crâne.
- Si tu as de la gloire, ne t’en réjouis pas ; si tu la perds, ne t’en afflige pas.
- Les héritiers qui ont grandi dans la richesse ne savent forger leur volonté.
- Ne te laisse point éblouir par les paroles d’autrui, attends de voir ses actes.
- Au-dehors, c’est la loi qu’on applique ; au-dedans, c’est le sentiment qui joue.
- Ne cueille pas la fleur d’un jour pour gâcher à jamais l’amour de toute une vie.
- Une réputation s‘achète trente mille sapèques, et se vend pour trois seulement.
- Un morceau donné à un affamé vaut un paquet donné à celui qui n’a plus faim.
- Il vaut mieux être le serviteur d’un homme intelligent que le maître d’un imbécile.
- Il ne faut pas mettre le feu au grenier, parce qu’on ne peut pas attraper la souris.
- Les paroles ne vous coûtent rien ; choisissez-les bien afin de faire plaisir à vos interlocuteurs.
- La victoire ou la défaite dépendent de ceux qui commandent, et non pas de ceux qui exécutent.
- Même si à soixante-dix ans, vous n’êtes pas encore boiteux, ne vous hâtez pas de vous en vanter.
- Le lettré précède le paysan, mais que le riz vienne à manquer, et c’est le paysan qui précède le lettré.
- Il faut courber les arbustes quand ils sont encore tendres. Et éduquer les enfants lorsqu‘ils sont encore dans l‘innocence.
- En rentrant dans une famille, on doit en adopter les coutumes. En naviguant sur un fleuve, on doit en suivre les méandres.
- Les frères sont comme les membres d’un même corps, tandis que le conjoint n’est qu’un vêtement dont on peut se séparer.