100 proverbes indiens inspirants
- Mieux vaut mentir que médire.
- De la discussion jaillit la lumière.
- À demain les affaires de demain.
- Un enfant est le plus grand cadeau.
- L’amour est sa propre récompense.
- Goutte-à-goutte, le bassin se remplit.
- À la maison, le chat est aussi un lion.
- Mauvaise serrure attire le crocheteur.
- La justice vaut mieux que l’adoration.
- Tout ce qui n’est pas donné est perdu.
- Il n’est de pire pauvreté que les dettes.
- Mieux vaut loucher que d’être aveugle.
- L’aigle ne pourchasse pas les mouches.
- Unie à l’océan, la goutte d’eau demeure.
- Celui qui n’a ni vache, ni veau, dort bien.
- L’envie d’un ennemi est sa propre punition.
- Tout désirer ; chagrin ; tout accepter ; joie.
- Le repos est doux après la fatigue du jour.
- L’homme du désir périt avec ce qu’il désire.
- Il n’est pas d’arbre que le vent n’ait secoué.
- Cent lavages ne blanchiront pas le charbon.
- Pour la fourmi, la rosée est une inondation.
- À force de persévérance, on atteint son but.
- Tout chien est un tigre dans sa propre ruelle.
- Fais aujourd’hui ce qui peut être fait demain.
- La charrue est le fondement de tous les arts.
- Le dard du mépris perce l’écaille de la tortue.
- La reconnaissance est le paiement du pauvre.
- Descends la rivière si tu veux atteindre la mer.
- Un homme sans argent est un arc sans flèches.
- En amour, les mendiants et les rois sont égaux.
- Une conscience coupable est un ennemi vivant.
- Le scorpion pique celui qui l’aide à sortir du feu.
- La perle est sans valeur dans sa propre coquille.
- Mieux vaut buisson clairsemé que pas d’ombrage.
- Les miracles sont accomplis par les hommes unis.
- Pour cacher un mensonge, il faut mentir mille fois.
- Il faut répondre au diable dans la langue du diable.
- Celui qui répond est inférieur à celui qui questionne.
- Le coeur en paix voit une fête dans tous les villages.
- Celui qui veut les fruits ne doit pas couper les fleurs.
- Attends toutes sortes de maux là où règne l’injustice.
- Les grandes machines tournent avec de petits pivots.
- Celui qui a un ami véritable n’a pas besoin d’un miroir.
- L’amour du méchant est plus dangereux que sa haine.
- L’argent est la hache qui sépare les amis inséparables.
- Le monde semble sombre quand on a les yeux fermés.
- Il faut manger des noix de coco tant qu’on a des dents.
- À qui apporte un présent, la porte est toujours ouverte.
- Celui qui ploie sous un fardeau en connaît seul le poids.
- La richesse est le poison du plaisir et la racine du souci.
- Nul n’est parfait ici-bas ; le soleil lui-même a ses taches.
- La conscience du coupable ne lui laisse aucune tranquillité.
- Ne compte point sur celui qui travaille contre son inclination.
- Celui qui n’ose pas ne doit pas se plaindre de sa malchance.
- À moins qu’on ne te les demande, n’offre jamais de conseils.
- Un arbre qui tombe fait plus de bruit qu’une forêt qui pousse.
- Jette une poignée de pierres, une au moins atteindra son but.
- Ne coupe pas les ficelles quand tu pourrais défaire les noeuds.
- La chance et la malchance sont deux godets d’un même puits.
- Pourquoi s’en prendre à la flèche, quand le tireur est présent ?
- L’avare et le soufflet du forgeron respirent, mais ne vivent pas.
- L’ardeur du soleil fait mieux apprécier le plaisir d’être à l’ombre.
- N’appelle pas tout le village pour faire tourner ton moulin à huile.
- Il n’y a rien de si éloquent que la queue d’un serpent à sonnettes.
- Les oiseaux se prennent par les pattes, les hommes par la langue.
- Ce n’est pas sur une montagne qu’on trébuche, mais sur une pierre.
- On peut fendre un rocher ; on ne peut pas toujours attendrir un coeur.
- N’appelle pas le chat pour mettre d’accord deux oiseaux qui se battent.
- L’eau qui vient d’une même source ne peut être à la fois douce et salée.
- Celui qui a une maison n’en a qu’une, celui qui n’en a aucune en a mille.
- Un ami que tu te seras fait par des présents se fera acheter par d’autres.
- Le chardon ne produira jamais de figues, la fourmi ne fera jamais de miel.
- N’accuse pas le puits d’être trop profond. C’est ta corde qui est trop courte.
- Si tu aimes ton fils corrige-le ; si tu ne l’aimes pas donne-lui des sucreries.
- Si sur ta piste, tu enlèves un caillou, tu l’enlèves aussi pour ceux qui suivent.
- Celui qui est tenté aujourd’hui par un concombre le sera demain par une chèvre.
- Pour cultiver l’amitié entre deux êtres, il faut parfois la patience de l’un des deux.
- Parler de ce qu’on ne connaît pas, c’est vouloir jouer aux échecs sans échiquier.
- La terre n’est pas un don de nos parents, ce sont nos enfants qui nous la prêtent.
- Tu peux sonder la profondeur d’un puits ; la profondeur de l’esprit est insondable.
- Il n’y a pas de différence entre un vaurien et un homme qui ne tient pas sa parole.
- On connaît la valeur du sel quand il n’y en a plus, et celle d’un père après sa mort.
- Un diamant avec quelques défauts est préférable à une simple pierre qui n’en a pas.
- Aide le bateau de ton frère à traverser le fleuve et le tien aussi arrivera sur l’autre rive.
- Le paresseux demande un oiseau, le courageux ne demande qu’un arc et des flèches.
- Il faut accepter les coups de pied de la vache comme on accepte son lait et son beurre.
- L’amour est comme une plante grimpante qui se dessèche et meurt si elle n’a rien à enlacer.
- Le chagrin de la mort d’un époux dure six mois ; on ne se console jamais de la mort d’un enfant.
- La terre est la mère de tous les peuples et tous les peuples devraient avoir des droits égaux sur elle.
- Il est heureux de tomber à terre si, pendant que vous y êtes étendu, votre main rencontre un diamant.
- Celui qui n’est pas prêt à affronter la mort au terme de sa vie, ne sera pas en paix quand tombera la nuit.
- La véritable noblesse consiste non pas à être supérieure à un autre homme, mais à ce qu’on était auparavant.
- Soyez bons avec la Terre ; elle ne vous a pas été donnée par vos parents, elle vous est prêtée par vos enfants.
- L’homme vertueux ressemble à l’arbre touffu, qui, exposé aux rayons du soleil, répand la fraîcheur sous ses branches.
- Les traits de la médisance et de la calomnie sont acérés par les deux bouts ; ils blessent souvent la main qui les enfonce.
- Lorsque la parole sort du coeur, elle pénètre les coeurs, mais lorsqu’elle sort de la langue, elle ne dépasse pas les oreilles.
- L’homme qui ne sort pas et ne visite pas dans toute son étendue la terre pleine d’une foule de merveilles est une grenouille de puits.
- Tous les pouvoirs dorment dans ton esprit, comme les diamants dans la mine. Il ne tient qu’à toi d’y descendre, muni de la lampe de sagesse.
- Qui est diligent, n’aura pas faim ; qui médite, ne pèchera point ; qui veille, ne craindra point ; qui sait parler et se taire à propos, n’aura point de querelles.
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De Yann Forget / via Wikimedia Commons GNU v1.2
Drapeau de l’Inde