Les 340 meilleurs proverbes français
- À cheval donné, on ne regarde pas les dents.
- À conscience troublée, jambes molles.
- À force de mal aller, tout ira bien.
- À pauvre coeur petit souhait.
- À qui sait comprendre, peu de mots suffisent.
- À Rome, fais comme les Romains.
- Ami de chacun, ami d’aucun.
- Amour de soi déçoit, amour d’autrui réjouit.
- Apprends à te taire, tu éviteras maintes galères.
- Après la pluie, le beau temps.
- Au vrai qui peut nuire, silence est un bon remède.
- Aucun prix ne saurait payer la conscience.
- Autant de fois que l’on transcrit, autant l’on corrige son écrit.
- Avec un cœur sans courage, on ne fait pas grand mariage.
- Bien dire fait rire, bien faire fait taire.
- Bien mal acquis ne profite jamais.
- Bon vin n’a pas besoin d’enseigne.
- Bonne renommée vaut mieux que ceinture dorée.
- Bouche qui rit ne blesse personne.
- C’est dans la peine et la douleur que tu compteras tes amis.
- C’est en forgeant qu’on devient forgeron.
- C’est l’ambition qui perd les grands hommes.
- Ce n’est pas tout d’avoir bonne cause, il faut encore savoir solliciter.
- Ce que le cœur ne voit pas, le cœur n’y rêve guère.
- Ce sont les petites pluies qui gâtent les grands chemins.
- Ce sont les tonneaux vides qui font le plus de bruit.
- Celui qui se fâche a deux peines : celle de se fâcher et celle de se sentir coupable après.
- Celui qui sème l’injustice moissonne le malheur.
- Cent ans de chagrin ne paient pas un sou de dettes.
- C’est de la familiarité que naissent les plus tendres amitiés et les plus fortes haines.
- Chacun prêche pour sa paroisse.
- Changer et trouver mieux sont deux.
- Chaque âge a ses vertus, comme il a ses défauts.
- Chaque chose en son temps.
- Chassez le naturel, il revient au galop.
- Chat échaudé craint l’eau froide.
- Cœur sans amour, jardin sans fleur.
- Commencez avec réflexion et poursuivez avec persévérance.
- Conseiller est bon, mais aider est encore mieux.
- Contre un plus puissant que soi, on ne dispute pas sans perte.
- Courtoisie qui ne vient que d’un côté ne peut longuement durer.
- De mauvais contrat, longue dispute.
- De même que le respect nous défend de parler avec mépris des personnes qui sont au-dessus de nous, il ne nous permet pas non plus de louer ces personnes sans une convenable circonspection.
- De savoir et de beauté, chacun se trouve assez riche.
- De toutes les choses sûres, la plus sûre est douteuse.
- Dis-moi ce que tu lis, et je te dirai ce que tu es.
- Donner c’est donner, reprendre c’est voler.
- Du choc des opinions jaillit la lumière.
- En été comme en hiver, qui quitte sa place la perd.
- En grande pauvreté, ne gît pas grande loyauté.
- Entre gens de même nature, l’amitié s’entretient et dure.
- Espérance ne donne ni à boire ni à manger.
- Facile est de penser, difficile est de penser juste.
- Fais ce que dois, advienne que pourra.
- Faute avouée est à moitié pardonnée.
- Fort est qui abat, plus fort est qui se relève.
- Garder le silence est rarement sujet à repentance.
- Goutte-à-goutte, l’eau creuse la pierre.
- Grand parleur est peu consulté.
- Homme seul est viande à loups.
- Il a bien gagné son pain celui qui fait taire la médisance
- Il en coûte moins pour se taire que pour soutenir une dispute.
- Il est aisé d’aller à pied quand on tient son cheval par la bride.
- Il est bien difficile, en géographie comme en morale, de connaître le monde sans sortir de chez-soi.
- Il est des plaisirs en amour pour tous les âges.
- Il est plus facile de conseiller que de faire.
- Il est trop tard pour fermer l’écurie quand le cheval s’est sauvé.
- Il faut appeler un chat un chat.
- Il faut lier le sac avant qu’il ne soit plein.
- Il faut prendre le taureau par les cornes.
- Il faut prendre le temps comme il vient : il faut se faire à toutes les circonstances de la vie.
- il faut prendre le temps comme il vient et les hommes comme on les trouve.
- Il faut quarante-sept muscles pour froncer les sourcils et seulement treize pour sourire.
- Il faut que jeunesse se passe.
- Il faut se quitter souvent pour s’aimer toujours.
- Il faut se taire ou bien dire.
- Il faut vouloir ce qu’on ne peut empêcher.
- Il n’est homme ni chose sans son défaut et souvent ils en ont deux ou trois.
- Il n’est jamais trop tard pour bien faire.
- Il n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir. Il n’est pire sourd que celui qui ne veut pas entendre.
- Il n’est si petit buisson qui ne porte ombre.
- Il n’est si sage qui ne fasse des sottises.
- Il n’y a pas de malheur insupportable, excepté celui qui vient d’une conscience coupable.
- Il n’y a pas de petites économies.
- Il n’y a pas de société sans devoirs réciproques entre les membres qui la composent.
- Il n’y a pas de société sans lois communes.
- Il n’y a pas société partout où la volonté d’un seul fait loi.
- Il n’y a que la vérité qui blesse.
- Il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis.
- Il n’y a rien de plus éloquent que l’argent comptant.
- Il n’y a si fort qui ne trouve son maître.
- Il ne faut attendre son bien que de soi-même.
- Il ne faut pas aller par quatre chemins.
- Il ne faut pas confondre vitesse et précipitation.
- Il ne faut pas croire les choses comme impossibles.
- Il ne faut pas jeter le bébé avec l’eau du bain.
- Il ne faut pas juger un paquet d’après ses ficelles.
- Il ne faut pas mettre tous ses œufs dans le même panier.
- Il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué.
- Il n’y a pas de grenouille qui ne trouve son crapaud.
- Il vaut mieux être seul qu’en mauvaise compagnie.
- Il vaut mieux perdre un bon mot qu’un ami.
- Il y a loin de la coupe aux lèvres.
- Je me suis repenti d’avoir parlé, mais jamais de n’avoir pas parlé.
- Joindre les mains, c’est bien ; les ouvrir, c’est mieux.
- L’adversité grandit ceux qu’elle n’abat point.
- L’amitié ne connaît ni feinte ni déguisement, tout y est sincère, tout part du cœur.
- L’amitié s’enrichit de tout ce qu’elle donne.
- L’amitié s’entretient par des attentions réciproques et une confiance sans réserve.
- L’amour a plus de fleurs, l’amitié a moins d’épines
- L’argent ne fait pas le bonheur, mais il y contribue.
- L’eau va toujours à la rivière.
- L’école de la vie n’a point de vacances.
- L’écriture en adversité, console et nous donne gaieté.
- L’égoïste ne consent à s’attendrir que sur ses propres douleurs.
- L’espérance d’avoir mieux nous fait vivre et mourir vieux.
- L’espoir de gain diminue la peine.
- L’espoir du doux repos soulage le dur labeur de tout ouvrage.
- L’homme a l’âge de son cœur.
- L’homme est aveugle sur ses défauts, et clairvoyant sur ceux d’autrui.
- L’hypocrisie a toujours pour compagnon la méchanceté.
- L’oisiveté est le repos des sots.
- L’on ne doit pas mettre la charrue devant les bœufs.
- L’on ne peut servir ensemble dieu et le diable.
- L’opinion de dix vaut mieux que d’un.
- L’usage rend toute difficulté facile.
- La bonne conscience est la santé de l’âme.
- La charge dompte la bête.
- La clarté est la politesse des professeurs.
- La conscience à l’âme est comme le miroir où quand on est trop laid on ne veut plus se voir.
- La cour rend des arrêts, et non pas des services.
- La défiance appelle la tromperie.
- La fable est la soeur aînée de l’histoire.
- La gueule tue plus de gens que le glaive.
- La liberté des uns s’arrête où commence celle des autres.
- La loi est la prudence des sociétés.
- La méchanceté de l’esprit étouffe la bonté du cœur.
- La mémoire est toujours aux ordres du cœur.
- La nature fait bien les choses.
- La patience est amère, mais ses fruits sont doux.
- La peine des autres est légère à porter.
- La persévérance vient à bout de tout.
- La précipitation est la fille de l’amour-propre et de la vanité.
- La précipitation est la plus grande ennemie de la véritable activité.
- La première recette de guérison est le temps.
- La prudence est la vertu des gens qui dirigent.
- La réponse douce désarme la colère.
- La semaine du travailleur a sept jours, la semaine du paresseux a sept demains.
- La soumission désarme la colère.
- La table est l’entremetteuse de l’amitié.
- La tentation de mal faire augmente avec les facilités.
- La trop grande bonté d’un homme vertueux l’expose à être trompé.
- La valeur n’attend pas le nombre des années.
- La vanité, comme les insectes, se repaît de petits riens.
- La victoire la plus difficile est celle que l’on remporte contre soi-même.
- La vie de l’homme est partagée entre deux règnes, celui de l’espérance et celui de la crainte.
- La vie est trop courte pour ne pas vivre ses rêves.
- Laisser aller chacun son chemin, on en reçoit joie sans fin.
- Le silence est l’âme des choses.
- Le bonheur c’est oublier le passé, vivre le présent et souhaiter un avenir bien meilleur.
- Le bossu ne voit pas sa bosse.
- Le choix de moyens et la persévérance sont les garants du succès.
- Le coeur seul sait parler au coeur.
- Le courage affronte les obstacles et les difficultés, et les écarte du chemin.
- Le grand doit aider le petit.
- Le meilleur don de l’âge est la sérénité.
- Le petit gain emplit la bourse.
- Le plus grand des maux est de ne plus rien espérer.
- Le regard est le miroir de l’âme.
- Le repos modéré rend à l’âme sa verve ; prolongé trop longtemps, il l’accable et l’énerve.
- Le respect suit toujours le véritable amour.
- Le scandale est souvent pire que le péché.
- Le silence est un consentement.
- Le soleil ne chauffe que ce qu’il voit.
- Le sommeil est la moitié de la santé.
- Le temps ne s’arrête jamais et tout change perpétuellement dans le monde.
- Le vent de l’adversité rend l’homme moins hébété.
- Le vent de prospérité change bien souvent de côté.
- Le véritable amour ne connaît ni la fatigue ni le repos.
- L’erreur est humaine… Mais lorsque la gomme à effacer s’use plus vite que le crayon, c’est qu’on se trompe trop souvent.
- Les absents ont toujours tort.
- Les bons comptes font les bons amis.
- Les causes qui manquent de raison ont besoin de fortes paroles.
- Les chiens aboient et la caravane passe.
- Les choses ne valent que ce qu’on les fait valoir.
- Les écrits parlent quand l’homme se tait.
- Les écus s’aiment et s’attirent.
- Les ennemis de nos ennemis sont nos amis.
- Les gens qui ne font rien manquent de temps pour tout.
- Les gens sincères sont aimés, mais ceux trop francs sont détestés.
- Les grands diseurs ne sont pas les grands faiseurs.
- Les grands n’ont que l’honneur pour seule conscience.
- Les injures sont les raisons de ceux qui ont tort.
- Les jours se suivent mais ne se ressemblent pas.
- Les larmes d’un enfant sont sacrées, nul ne doit les faire couler.
- Les lois ressemblent aux toiles d’araignées, qui arrêtent les moustiques et laissent filer le frelon.
- Les loups ne se mangent pas entre eux.
- Les petits cadeaux entretiennent l’amitié.
- Les plus courts chemins ne sont pas toujours les meilleurs.
- Les serments de l’amour prouvent son inconstance, l’amitié n’en prononce pas.
- Les serments ne coûtent rien à celui qui veut tromper.
- Les voyages forment la jeunesse.
- Les yeux ne trompent pas, même en voulant tromper.
- L’indifférence est le sommeil de l’âme.
- Longue absence fait changer d’ami.
- Mauvais conseil retombe sur qui le donne.
- Mentir n’est pas joli, et pécher enlaidit.
- Mieux vaut agir que critiquer.
- Mieux vaut ami grondeur que flatteur.
- Mieux vaut amour liant deux cœurs, que richesse plein la demeure.
- Mieux vaut donner sans promesse que promettre sans tenir.
- Mieux vaut être trompé que soupçonner toujours.
- Mieux vaut maintenant un œuf que dans le temps un bœuf.
- Mieux vaut paix que victoire.
- Mieux vaut porter sa croix que la traîner. Proverbe breton
- Mieux vaut prévenir que guérir.
- Mieux vaut se corriger soi-même que d’être corrigé par autrui.
- Mieux vaut une certitude qu’une promesse en l’air.
- N’attelle pas ensemble l’âne et le cheval.
- Ne jamais remettre à demain ce qu’on peut faire aujourd’hui.
- Ne réveillez pas le chien qui dort.
- Ne te laisse pas influencer par tes problèmes, laisse-toi guider par tes rêves.
- Nécessité fait loi.
- Notre esprit a toujours quelque mais en réserve.
- Nourris bien ton corps ton âme y restera plus longtemps.
- Nul n’est prophète en son pays.
- Nul n’est trop bon et peu le sont assez.
- On cherche souvent des difficultés où il n’y en a pas.
- On compte les défauts de qui se fait attendre.
- On devient l’homme de son uniforme.
- On doit souffrir patiemment ce qu’on ne peut amender sainement.
- On est puni par où on a péché.
- On guérit d’une plaie et non du déshonneur.
- On n’apprend pas à un vieux singe à faire des grimaces.
- On ne change pas une équipe qui gagne.
- On ne fait pas d’omelettes sans casser des œufs.
- On ne perd pas de temps quand on se prépare.
- On ne peut empêcher le chien d’aboyer, ni le menteur de mentir.
- On ne peut être à la fois au four et au moulin.
- On ne peut faire du bien à tout le monde, mais on peut toujours témoigner de la bonté.
- On ne peut pas avoir le beurre et l’agent du beurre.
- On ne peut pas faire boire un âne qui n’a pas soif.
- On ne trouve du bon sens qu’aux gens de notre avis.
- On promet comme on veut et l’on tient comme on peut.
- On sait qui l’on quitte, on ne sait pas qui l’on prend.
- Par le passé, on connaît l’avenir.
- Parfois, petite négligence accouche d’un grand mal.
- Personne n’est indispensable.
- Petit à petit, l’oiseau fait son nid.
- Petit fardeau pèse à la longue.
- Petit homme abat grand chêne.
- Peu importe la puissance du mal, le bien finit toujours par triompher.
- Plaisir non partagé n’est plaisir qu’à moitié.
- Plus on est de fous, plus on rit.
- Pour butiner le miel, il ne faut pas que l’abeille reste à la ruche.
- Pour les coeurs corrompus, l’amitié n’est point faite.
- Pourquoi chercher à devenir l’homme le plus riche du cimetière ?
- Presque et quasiment empêchent de mentir.
- Prudence est mère de sûreté.
- Puisqu’il faut vivre, autant le faire avec le sourire.
- Quand d’autrui parler tu voudras, regarde-toi et te tairas.
- Quand l’orgueil chevauche devant, honte et dommage suivent de près.
- Quand le chat n’est pas là, les souris dansent.
- Quand les brebis enragent, elles sont pires que les loups.
- Quand on met la main à la pâte, il en reste toujours quelque chose aux doigts.
- Quand on n’a pas ce qu’on aime, il faut aimer ce qu’on a.
- Quand on parle du loup, on en voit la queue.
- Quand on serre trop l’anguille, on la laisse partir.
- Quand pauvreté se montre à la porte, conscience se jette par la fenêtre.
- Quand sur une personne on prétend se régler, c’est par les beaux côtés qu’il lui faut ressembler.
- Qui a faute d’argent et d’or, bien repose et sûrement dort.
- Qui a santé, il a tout ; qui n’a santé, il n’a rien.
- Qui aime bien ses enfants, doit les corriger souvent.
- Qui attend la fortune les bras croisés, ne la voit jamais arriver.
- Qui casse les verres les paie.
- Qui couche avec des chiens, se lève avec des puces.
- Qui croit facilement est trompé de même.
- Qui de tout se tait de tout a la paix.
- Qui doute ne se trompe pas.
- Qui est cruel avec son ennemi sera rude avec son ami.
- Qui est malhonnête en peu est malhonnête en beaucoup.
- Qui fait deux fois naufrage ne doit pas s’en prendre à la mer.
- Qui mal dit, mal lui vient.
- Qui n’a pas un fort courage connaît souvent la défaite.
- Qui n’aime son métier, son métier ne l’aime.
- Qui n’est content de rien, ne contente personne
- Qui n’a pas encore traversé la rivière, ne doit pas se moquer de celui qui se noie.
- Qui ne fait pas quand il peut, ne fait pas quand il veut.
- Qui ne sait pas se taire ne fera jamais rien de grand.
- Qui ne tente rien n’a rien.
- Qui partout sème en aucun lieu ne récolte.
- Qui plus a plus convoite.
- Qui recherche la lune, ne voit pas les étoiles.
- Qui restreint ses besoins, sera d’autant plus libre.
- Qui rit beaucoup guérira plus vite.
- Qui sait le plus doute le plus.
- Qui se ressemble s’assemble.
- Qui songe à oublier se souvient.
- Qui trop se hâte en beau chemin se fourvoie.
- Qui veut conserver son ami, ne doit point conclure d’affaires avec lui.
- Qui veut un cheval sans défaut doit aller à pied.
- Qui veut vaincre doit savoir souffrir.
- Qu’importe le feuillage, s’il s’y cache un beau fruit.
- Rage d’amour est pire que le mal de dents.
- Récriminer c’est s’avouer coupable.
- Rêver, c’est scruter les étoiles et savoir interpréter leur message.
- Sans l’indulgence, l’amitié ne peut plus exister.
- Secret confié ; secret divulgué.
- Si on te promet une vache, cours vite chercher la corde.
- Si tu veux qu’on t’épargne, épargne aussi les autres.
- Si un sot vous trompe plus de cinq minutes, c’est que vous et lui faites la paire.
- Souci, chagrin, ne font aucun bien.
- Suivre sa route sans précipitation et sans s’arrêter est un moyen sûr d’arriver.
- Tais-toi du mal ; dis bien du bien.
- Tendresse maternelle toujours se renouvelle.
- Tolérer n’est pas cautionner.
- Tous les jours de chasse ne sont pas des jours de prise.
- Tous ne sont pas chevaliers qui à cheval montent.
- Tout nouveau, tout beau.
- Tout saint nouveau a des miracles à faire.
- Trop espérer déçoit.
- Trop grand respect est bien suspect.
- Un ami est long à trouver et prompt à perdre.
- Un bienfait reproché tint toujours lieu d’offense.
- Un gentilhomme sans talent ne vaut guère mieux qu’un mendiant.
- Un homme sans argent est un loup sans dent.
- Un ivrogne remplit plus facilement son verre que ses engagements.
- Un menteur n’est point écouté, même en disant la vérité.
- Un mot inconsidéré peut faire le malheur de toute une vie.
- Un petit chez-soi vaut mieux qu’un grand chez les autres.
- Un peu d’aide fait grand bien.
- Un seul bon argument vaut mieux que plusieurs arguments meilleurs.
- Un seul mensonge mêlé parmi les vérités les fait suspecter toutes.
- Une vie trop tranquille est une mer morte.
- Une bonne action n’est jamais perdue.
- Une bonne conscience est un doux oreiller.
- Une conscience pure est la meilleure des lois.
- Une mauvaise louange vaut un grand blâme.
- Une visite fait toujours plaisir. Si ce n’est à l’arrivée, c’est au départ.
- Vieille amitié ne craint pas la rouille.
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