65 beaux proverbes algériens
- Le cœur voit avant l’œil.
- N’oublie pas d’où tu viens.
- L’amour cache les défauts.
- La fortune est avec le travailleur.
- Dans ton amitié, sois sans défaut.
- Un feu lointain ne réchauffe point.
- Où sont mes amis, là est mon trésor.
- Respecte-moi et je ferai tout pour toi.
- Nourrir trop d’espoir paralyse l’action.
- Qui a trop d’amis n’est qu’un sot d’esprit.
- Donne à la terre (ta sueur), elle te donnera.
- Ne crains pas la justice, mais crains le juge.
- Manger peu, chasse beaucoup de maladies.
- Le temps est une lime qui travaille sans bruit.
- Nous nous comportons selon notre éducation.
- Les mots peuvent faire plus mal qu’une blessure.
- Le ventre plein ne se soucie point du ventre vide.
- Un ennemi savant vaut mieux qu’un ami ignorant.
- Qui pense à l’avenir ne peut tomber dans l’abîme.
- La vérité est souvent éclipsée mais jamais éteinte
- Ce qui a été réfléchi à l’avance épargne la fatigue.
- Qui aborde ses affaires de bonne heure les réglera.
- Grâce aux gouttes de pluie, la rivière sort de son lit.
- Deviens un bon voisin, et tu apprendras ses mœurs.
- L’avare riche est plus pauvre que le pauvre généreux.
- Un peuple sans culture, c’est un homme sans paroles.
- Bien doux est le cœur, et bien coupante est la langue.
- Le borgne, au pays des aveugles, est le chef suprême.
- Le pied qui se promène partout ne peut revenir propre.
- Celui qui est vêtu avec le bien d’autrui est en réalité nu.
- La balle, si elle retentit, jamais elle ne reviendra au fusil.
- Chaque épreuve enrichit la tête d’une nouvelle sagesse.
- Un oiseau dans la main, vaut mieux que dix dans le ciel.
- L’un est en train de brûler par le feu, l’autre se réchauffe.
- Bataille, controverse, mais laisse place à la réconciliation.
- Apporter ton aide aux païens est préférable à ton oisiveté.
- Qui donne ne doit pas regretter, et qui regrette n’y peut rien.
- Qui possède un métier ne risque pas de connaître la misère.
- La fortune des aïeux s’épuisera, l’adresse des mains restera.
- Qui n’aime que sa propre personne ne peut faire un bon ami.
- La vengeance qui a tardé s’exerce au moyen d’un gros bâton.
- Avant de choisir ton chemin, choisis ton compagnon de route.
- Celui qui ne sait pas d’où il vient, ne sait pas non plus où il ira.
- Qui compte sur la soupe des voisins passera la nuit sans dîner.
- La vérité qui blesse vaut mieux que le mensonge qui fait plaisir.
- La plaie refermée, si tu la grattes trop, elle saignera à nouveau.
- Suis le conseil de l’ancien, si tu ne gagnes pas, tu ne perds rien.
- Dis la vérité une fois et tu peux mentir jusqu’à ce que tu meures.
- Aux yeux de chaque maman scarabée, son petit est une gazelle.
- Celui qui veut du miel, il lui faut patienter à la piqûre des abeilles.
- Celui qui dort sur un tapis de haute laine dit que l’hiver est chaud.
- D’un homme dont je connais le père, le fils ne peut me faire peur.
- L’invitation est un devoir, mais le sage doit maintenir ses distances.
- La vérité n’est bonne à rien quand elle découvre les fautes d’autrui.
- C’est la petite branche d’arbre que tu négliges, qui te blessera l’œil.
- La générosité fait le mérite du pauvre ; l’avarice fait le mépris du riche.
- Ce que les parents disent de bon ou mauvais, les enfants vont le répéter.
- Qui ne suit pas l’exemple de ceux qui ont réussi n’assurera pas sa fortune.
- Si tu fais du bien tu dois l’oublier, et si tu fais du mal tu devras t’en rappeler.
- Plaisanterie d’une heure est contentement, plaisanterie d’un jour est incongruité.
- La fortune ne s’agrandit que dans la tête (entre les mains) d’un habile calculateur.
- Quand le chat et la souris vivent en bonne intelligence, les provisions en souffrent.
- Si tu ignores ses origines, regarde ses actes ; si tu ignores ses actes, regarde ses origines.
- Prend en compte les paroles de celui qui t’a fait pleurer non pas celles de celui qui t’a fait rire.
- L’arbre a dit à la hache : tu me fais mal. Elle lui a répondu : c’est toi qui m’as offert le manche.
- L’amour et la haine sont un voile devant les yeux : l’une ne laisse voir que le bien, l’autre que le mal.
- Ne charge pas un seul jour des soucis de toute une année, tu n’es pas sûr du jour entier, et tu t’inquiètes de l’année entière.
- Quand tu es né, tu pleurais et tout le monde souriait autour de toi. Tâche, quand tu vas mourir, de sourire et que tout le monde pleure.
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