215 citations de Publilius Syrus
1) Citations de Publilius Syrus sur l'avarice :
- L’avare est lui-même la cause de sa misère.*
- Le lâche se dit prudent, et l’avare économe.*
- L’avare ne fait rien de bien que quand il meurt.*
- L’indigent manque de peu ; l’avare manque de tout.*
- L’avare ne manque jamais de prétexte pour refuser.*
- L’argent irrite, mais ne rassasie pas le désir de l’avare.*
- Un avare n’est bon à personne, encore moins à lui-même.*
- L’avare est privé des biens qu’il possède autant que de ceux qu’il n’a pas.*
2) Citations de Publilius Syrus sur la douleur :
- La douleur de l’âme pèse plus que la souffrance du corps.
- La douleur, affolée et réduite aux abois, de la froide raison n’écoute plus la voix. (Pensée)
- Au milieu des tourments la douleur est immense, pour qui vit seul et qui souffre en silence.
- Qui à sa santé ne porte un soin extrême, ne peut de ses douleurs accuser que lui-même.*
- On est moins malheureux, dans la douleur commune, de voir qu’on n’est pas seul à souffrir l’infortune.
3) Citations de Publilius Syrus sur l'ennemi :
- Ton sort est bien à plaindre, s’il ne trouve pas d’ennemi.*
- Il est bon d’adresser de bonnes paroles, même à ses ennemis.*
- Une petite somme donnée fait un obligé, une forte fait un ennemi.*
- Le plus dangereux ennemi est celui qui est caché dans notre cœur.*
- Un ami qui fait semblant est le plus dangereux de tous les ennemis.*
- Il faut plus craindre la jalousie de ses amis que les pièges de ses adversaires.*
- Bien à plaindre celui que tout le monde accuse, et qui même à ses yeux ne peut trouver d’excuse. *
4) Citations de Publilius Syrus sur l'envie :
- Mieux vaut exciter l’envie que la pitié.*
- L’envie s’irrite en secret, mais en ennemie.
- L’envie dit ce qui peut nuire, et non ce qui est.*
5) Citations de Publilius Syrus sur la fortune :
- Qu’il est pauvre celui qui se croit riche !*
- L’orgueil est le vice ordinaire de la fortune.*
- La fortune ôte l’esprit à ceux qu’elle veut perdre.*
- A quoi te sert l’argent si tu ne sais pas l’employer ?*
- Sois le maître et non pas l’esclave de tes richesses.*
- L’intérêt des hommes a fait de la fortune une déesse.*
- La fortune fait perdre l’esprit à celui qu’elle favorise trop.*
- Il est plus facile de trouver la fortune que de la conserver.*
- Moins la fortune nous a donné, et moins elle nous enlève.*
- La fortune est inconstante, elle redemande bientôt ce qu’elle a donné.*
- La fortune est semblable au verre : plus elle est brillante, plus elle est fragile.*
- Il n’y a jamais de fortune, si bonne qu’elle soit, dont on ne puisse se plaindre.*
6) Citations de Publilius Syrus sur l'ignorance :
- Mieux vaut ignorer une chose, que la savoir mal.*
- On ferait moins de fautes, si l’on savait combien de choses on ne sait pas.*
- Si vraiment l’ignorance est un mal sans douleur, la pauvreté d’esprit, n’est-ce pas le bonheur ? (Pensée)
7) Citations de Publilius Syrus sur l'injustice :
- Ceux mêmes qui la commettent détestent l’injustice.
- Personne n’aime l’injustice, pas même ceux qui la commettent.*
- Une extrême justice est presque toujours une extrême injustice.*
- Faire une injustice envers un seul, c’est menacer tous les autres.*
- C’est le propre de l'homme de bien que de ne pas savoir commettre une injustice.
- Dans la justice même il faut de la mesure, et l’extrême justice est une extrême injure. *
- Quand tu vois sous tes yeux commettre une injustice, ne la protège pas d’un silence complice.
8) Citations de Publilius Syrus sur le malheur :
- Ne fais point ta joie du malheur d’autrui.*
- Le malheur est double, quand il succède au bonheur.*
- Se ressouvenir d’un malheur, c’est l’éprouver une seconde fois.*
- Il est bon de voir dans le malheur d’autrui tout ce que l’on doit fuir.*
- Se plaindre du malheur quand on l’a bien cherché, c’est le comble en effet de la stupidité. *
- Notre bonheur n'est rien qu'un bonheur éphémère, s'il n'a, chemin faisant, passé par la misère. *
9) Citations de Publilius Syrus sur la méchanceté :
- La méchanceté s’apprend sans maître.
- La joie des méchants tourne bientôt à leur perte.*
- Soutenir un coupable c’est se rendre complice de sa faute.
- Le méchant n’est point fléchi par les larmes, il s’en nourrit.*
- La méchanceté d’un seul devient bientôt une malédiction pour tous.*
- La méchanceté heureuse est la calamité des gens de bien. (Pensée)
- Le méchant n’est jamais plus dangereux que quand il se déguise en homme vertueux.*
- Il est permis d’épargner un méchant pour épargner en même temps un honnête homme.*
10) Citations de Publilius Syrus sur la mort :
- Quiconque vit mal, ne saura jamais mourir.*
- Tout ce qui vient à la vie est soumis à la mort.*
- Heureux celui qui meurt avant d’avoir désiré la mort !*
- Connaître le moment de sa mort, c’est mourir à chaque instant.*
- Le moment où l’on vit heureux est le plus opportun pour mourir.*
- Retourner au point d’où l’on est venu ne doit paraître dur à personne.*
- Les hommes ne meurent jamais plus satisfaits qu’aux lieux où ils ont vécu avec plaisir.*
11) Citations de Publilius Syrus sur l'occasion :
- L’occasion a rarement d’heureux retours.*
- L’occasion échappe souvent pendant qu’on délibère.*
- L’occasion se présente difficilement et se perd facilement.*
12) Citations de Publilius Syrus sur la patience :
- La patience est un remède à toutes les afflictions.*
- La patience est pour l’âme comme un trésor caché.*
- Supporte sans te plaindre ce qui ne peut se changer.*
- Supporte les grands désagréments, tu ne sentiras pas les plus légers.*
- Il faut se préparer longtemps à la guerre, si l’on veut remporter une prompte victoire.*
13) Citations de Publilius Syrus sur la sagesse :
- Le doute est le remède qu’enseigne la sagesse.
- Le sage corrige ses vices en voyant ceux d’autrui.*
- Je n’aime pas un sage qui ne sait pas l’être pour lui.*
- Le sage est maître de son cœur, le fou en est l’esclave.*
- C’est l’intelligence, et non l’âge, qui sert à trouver la sagesse.
- C’est une sage lenteur que de délibérer sur ce qu’il faut faire.*
- C’est la réflexion, et non pas l’âge, qui nous conduit à la sagesse.*
- On ne saurait être sage quand on aime, ni aimer quand on est sage.
- Celui qui sent qu’il n’est pas sage ne saurait manquer de le devenir.*
- Si tu n’es pas sage par toi-même, tu entendras en vain les Leçons d’un sage.*
- Avoir les dehors de la sagesse ou la posséder réellement sont deux choses bien différentes.*
14) Citations de Publilius Syrus sur le silence :
- Tais-toi, ou bien parle mieux que ton silence.
- Le silence des sots a bien son avantage. Un sot veut-il se taire, il passera pour sage. (Pensée)
- On se repent d’un mot qu’imprudemment on lance, mais on ne s’est jamais repenti du silence. (Pensée)
15) Citations de Publilius Syrus sur le travail :
- Qui aime le travail trouve toujours à s’occuper.*
- L’espoir de la récompense fait la consolation du travail.*
- Quand le vrai mérite obtient sa récompense, le travail enhardi renaît à l’espérance. (Pensée)
- Mêlons à nos labeurs quelques ébats joyeux, l'homme après le plaisir n’en travaille que mieux.
16) Citations de Publilius Syrus sur la vengeance :
- Il est souvent plus utile de dissimuler une injure que de la venger.*
- C’est une folie que de vouloir se venger de son voisin par un incendie.*
- C’est une folie que de vouloir se venger d’un autre en se faisant du mal à soi-même.*
17) Citations de Publilius Syrus sur la vérité :
- Il est assez éloquent celui qui dit la vérité.
- Pourquoi n’entendons-nous pas la vérité ? parce que nous ne la disons pas.*
- Redoute les bavards, aux doucereux discours ; simple est la vérité, le fourbe a ses détours. *
18) Citations de Publilius Syrus sur le vice :
- Si tu tolères les vices d’un ami, tu en fais les tiens.*
- Tu dois faire le bien par haine du vice, et non par crainte.*
- Plus le vice en un cœur a pu s’invétérer, et moins facilement on l’en peut retirer.
- Ne soyez pas aveugle des défauts d’un ami, mais ne vous posez point contre eux en ennemi. *
- Chassons de notre vie ces êtres vaniteux, qui à défaut de savoir écouter ne parlent que d’eux. *
19) Citations de Publilius Syrus sur la vie :
- Vivre longtemps n’est rien ; le tout est de bien vivre.*
- À la frugalité la raison nous convie, car l’excès des plaisirs abrège aussi la vie.*
- Une vie tranquille n’appartient qu’à ceux qui suppriment les mots mien et tien.*
- Si ta manière de vivre plaît à beaucoup de monde, elle ne doit pas te plaire à toi-même.*
- Celui qui ne vit que pour lui-même est, avec raison, considéré comme mort par les autres.*
- La vie est trop longue pour le malheureux, bien trop courte pour l'homme heureux. (Les sentences et adages - Ier s. av. J. C.)
20) Autres citations de Publilius Syrus :
- Le rire est une insulte au malheur.
- Le pire des défauts est de les ignorer.
- Mauvais est l'avis qui ne peut varier. *
- La pire tyrannie est celle de l'habitude.
- Mieux vaut recevoir que faire une injure.
- La perte qu’on ignore n’est pas une perte.*
- Le coupable craint la loi et l’innocent le sort.
- Notre pire ennemi se cache dans notre cœur.
- Pardonne à un ennemi, tu gagneras des amis.
- Être digne d’éloges, vaut mieux que d’être loué.
- On irrite celui que l’on aime en voulant être aimé.
- Les mauvais cœurs n’ont jamais besoin de Leçons.
- Les yeux sont aveugles lorsque l'esprit est ailleurs.
- Dompter sa colère, c’est vaincre un grand ennemi.
- Ne promettez pas ce que vous ne pourrez pas tenir.
- On ne cesse de perdre que lorsqu’on n’a plus rien.*
- La réputation a une plus grande valeur que l'argent.
- Même par jeu, il n'est pas permis d'offenser un ami.
- Le temps de la réflexion est une économie de temps.
- Les blessures de la conscience ne cicatrisent jamais.
- Même quand la blessure guérit, la cicatrice demeure.
- Il ne faut rien croire d’une âme irritée par la douleur.
- Perdre un ami est la plus grande de toutes les pertes.
- Domine tes passions pour qu'elles ne te dominent pas.
- L'homme meurt autant de fois qu'il perd l'un des siens.
- Il y a un chemin partout où un autre a laissé des traces.
- Le préjugé est fâcheux, parce qu'il exclut tout jugement.
- Le courage croît à force d’oser, la peur à force d’hésiter.
- Le courage du soldat dépend de la prudence du général.
- Qui plaide pour un innocent est toujours assez éloquent.
- L'homme généreux invente même des raisons de donner.
- C’est un mauvais plan que celui qui ne peut être modifié.
- Tu dois connaître les coutumes de ton ami et non les haïr.
- Par temps calme, n’importe qui peut gouverner un navire.
- L'homme patient et courageux fait lui-même son bonheur.
- Toute chose a la valeur que son acquéreur est prêt à payer.
- Personne ne sait de quoi il est capable avant d’avoir essayé.
- Ayez plutôt soin de votre conscience que de votre réputation.
- Qui ne sait pas garder les petites choses, perdra les grandes.*
- L'homme n'est bon qu'à la condition de l'être à l'égard de tous.
- Rien ne peut être fait à la fois précipitamment et prudemment.
- Les défauts des autres enseignent au sage à corriger les siens.
- Nous envions le bonheur des autres, les autres envient le nôtre.
- Qui ne sait pas rendre un service n'a pas le droit d'en demander.
- Celui qui sait se vaincre dans la victoire est deux fois vainqueur.
- Un sourire bien souvent a suffi, à deux êtres pour s’unir toute une vie.
- Beaucoup de gens reçoivent des conseils. Seuls les sages en profitent.
- Celui à qui l'on promet plus qu'il n'est juste veut plus qu'il ne lui est permis.
- Il faut plus de courage pour vaincre ses passions que pour vaincre l'ennemi.
- Un projet qu’on n’a pas laissé mûrir, est toujours promptement suivi du repentir.
- On ne doit repousser, en nulle occasion, la voix de la prudence et la précaution.*
- J’accorde mon estime à qui tait un secret ; celui le révèle a commis un forfait. *
- L’affliction qui tue une autre affliction, prend sa place et tient lieu de consolation.
- Parler en mal d’un ami véritable, c’est être indigne de lui, et c’est impardonnable.
- Poursuis un but utile, et renonce à l’erreur, de vouloir accomplir un stérile labeur.
- Il ne faut ni trop parler, ni se taire sans cesse, entre les deux se trouve la sagesse.
- Il est bon de prévoir et de se souvenir, un œil dans le passé, et l’autre vers l’avenir.*
- Ne précipitez rien, trop d’empressement nuit ; il amène l’erreur, et le regret la suit.
- En sachant ménager et conserver son bien, à sa famille, en outre, on assure le sien.
- N’exige que le juste, et crains de l’exposer, en voulant autre chose, à te voir refuser.
- Il est rare que l'homme, incertain, inégal, sache venir au bien sans passer par le mal.
- On perd vite un talent que l’on n’exerce pas, ne laisse pas oisifs ton esprit ni tes bras.
- Le monde avec raison poursuit de ses mépris, la juste pauvreté qui du luxe est le prix.
- La trop grande franchise est dupe bien souvent, et se prend aux pièges qu’on lui tend.
- Dès que dans un État la liberté succombe, tout citoyen se tait, muet comme la tombe.
- Nettoyons le dedans plutôt que le dehors, et les taches de l’âme avant celles du corps.
- Fou, qui veut exercer l’autorité suprême, et ne sait seulement commander à lui-même.
- Deux tâches à la fois ne valent jamais rien, en voulant faire trop, on ne fait rien de bien.
- Quand le sort sur quelqu’un s’acharne avec furie, ajouter le reproche est de la barbarie.
- Il n’est pas permis de blesser un ami, même en plaisantant. (Sentences Ier s. av. J.-C.)
- Déverser sur autrui l’injure et l’anathème, c’est la plupart du temps s’injurier soi-même.
- On ne trouve jamais petite une demeure, où de véritables amis sont reçus à toute heure.
- Qui dans ses jugements trop se précipite, vers un prompt repentir court encore plus vite
- Si tu veux vivre heureux loin des tempêtes, fuis la foule importune, et vis dans la retraite.
- Plus on suit des plaisirs l’enivrant tourbillon, plus aussi de la crainte on ressent l’aiguillon.
- Laisse, sans t’en moquer, chacun faire à sa guise, de crainte qu’à ton tour on te ridiculise.
- Que de projets divers on aime à caresser sans songer au hasard qui les vient contrarier. *
- Discutée avec calme, une thèse s’éclaire, mais la vérité fuit aux cris de la colère. (Pensée)
- Qui me trompe une fois perd toute ma confiance, et se rend à toujours digne de méfiance.
- Un homme défiant, soupçonneux à l’extrême, s’il n’a pas de rivaux, s’en invente lui-même.
- Le bien que l’on a semé dans la prospérité, une fois mûri se retrouve aux jours d’adversité.
- Il ne faut se hâter, ni de louer personne, ni d’accuser à tort quand peut-être on soupçonne.
- L'homme se garde toujours de reporter sur lui, les mêmes jugements qu’il porte sur autrui.
- On fait une sottise, une sottise amère, en changeant ce qu’on tient contre ce qu’on espère.
- Sache prévoir les maux qui peuvent t’atteindre, un mal prévu d’avance est moins à craindre.
- La discorde a cela d’heureux, que de la paix, elle fait mieux sentir le charme et les bienfaits.
- De l’esprit et du corps fuis la double paresse, car où l’esprit languit, le corps aussi s’affaisse.
- Il est rare qu’un homme, fût-il des moins sots, puisse parler beaucoup, et toujours à propos.*
- Le voyageur qui craint de s’égarer et doute, fait mieux de tourner bride à moitié de sa route.
- Bien souvent par force ce qu’on ne peut acquérir, avec un brin de douceur on le peut obtenir.
- Sur ton ivresse, crois-moi, tu t’excuses en vain ; ta faute est bien ta faute, et non celle du vin.
- L'homme superficiel, où le bon sens sommeille, pour ses amis du jour oublie ceux de la veille.
- Quand on veut refuser c’est un service à rendre que de refuser vite et ne pas faire attendre. *
- Ce que tu peux donner, garde-toi de le vendre ; on a sa large part du bien qu’on sait répandre.
- Qui se proclame heureux éveille la colère, des jaloux et des envieux qui vivent dans la misère.
- Le fou tremble et fléchit devant les coups du sort, le sage avec constance en supporte l’effort.
- Au-delà du possible, imprudent qui s'engage ! Mieux vaut promettre moins, et tenir davantage.
- La force augmente en osant ; la crainte en différant. (Les sentences et adages - Ier s. av. J.-C.)
- Dire ce que l’on pense en toute franchise constamment, a ses revers et de nombreux tourments.
- Une Leçon ne nuit jamais, quelque amère qu’elle soit. (Les sentences et adages, Ier s. av. J.-C.)
- En dépit des calomnies, poursuis ton devoir ; faire taire les envieux, n’est pas en ton pouvoir.*
- Pour trouver le bonheur c’est faire fausse route, que de penser sans cesse au mal que l’on redoute.
- N’allez pas, entre amis, vous prendre de propos, de grands débats parfois, naissent de vilains mots.
- Le poltron devant lui voit des périls sans nombre, et lorsqu’il n’en voit pas, il a peur de son ombre. *
- L’empire le plus beau, le triomphe suprême, c’est l’ascendant vainqueur que l’on prend sur soi-même.
- Plus longue est notre vie, et plus nos repentirs, bourreaux de nos vieux jours font de nous des martyrs.
- Un esprit soupçonneux n’admet pas que personne, puisse encore avoir foi dans les gens qu’il soupçonne.
- Il est honorable de savoir pardonner, mais suivant la gravité de la faute, il est juste de ne jamais l’oublier. *
- L’homme heureux n’est pas celui qui l’est aux yeux des autres, mais aux siens. On n’est point heureux, si l’on ne croit pas l’être. *
* : citations extraites de Sentences.
La Syrie, lieu de naissance de Publilius Syrus, CC BY-SA 3.0