155 citations de Napoléon Bonaparte en 18 catégories
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- Impossible n’est pas français.
- La meilleure défense est l’attaque.
- Il faut être plus grand, malgré nous.
- La prudence est plus dangereuse que l’audace.
- Il faut plus de courage pour souffrir que de mourir.
- Le vrai courage, c’est celui de trois heures du matin.
- On ne trouve pas de gens intrépides dans ceux qui ont à perdre.*
- Qui n’a pas le courage de supporter l’adversité n’est pas un homme.
- Le courage ne peut être simulé : c’est une vertu qui échappe à l’hypocrisie
- Le courage est comme l’amour ; il veut de l’espérance pour nourriture.
- Avec de l’audace, on peut tout entreprendre, on ne peut pas tout faire.
- Celui qui gagne est celui qui tient trois minutes de plus que son ennemi.
- L’art d’être tantôt très audacieux et tantôt très prudent est l’art de réussir.
- Il faut du courage pour lutter contre la force, il en faut quelques fois plus pour avouer sa faiblesse.
- Il y a autant de vrai courage à souffrir avec constance les peines de l’âme qu’à rester fixe sous la mitraille d’une batterie.
- L’ambition est à l’homme ce que l’air est à la nature ; ôtez l’un au moral et l’autre au physique, il n’y a plus de mouvement. (Maximes de guerre et pensées, 1863)
- Le bon sens fait les hommes capables.
- De l’esprit au bon sens, il y a plus loin qu’on ne pense.*
- On écrit trop : je voudrais moins de livres, et plus de bon sens.*
- Un homme qui se noie s’accroche à toutes les branches.
- Un rien bien souvent a décidé des plus grands événements.
- Le bonheur tient aux événements, la félicité tient aux affections.*
- Les circonstances ? Quelles circonstances ? Je suis les circonstances.
- Le vrai caractère perce presque toujours dans les grandes circonstances.
- Dans les révolutions, il y a deux sortes de gens : ceux qui les font et ceux qui en profitent.
- L’indécision est au gouvernement ce que la paralysie est à l’action des membres.
- Rien n’est plus important et donc plus précieux que de savoir prendre des décisions.
- Prenez le temps de délibérer, mais lorsque c’est le temps de passer à l’action, cessez de penser et allez-y !
- L’homme découragé reste indécis parce qu’il ne voit devant lui que de mauvais partis, et ce qu’il y a de pire dans les affaires, c’est l’indécision. (Le manuscrit de Sainte-Hélène)
- Les pressentiments sont les yeux de l’âme.*
- L’inconstance est souvent la marque d’une grande puissance de passions.
- Le sot a un grand avantage sur l’homme d’esprit : il est toujours content de lui-même.
- On a écrit de grandes sottises sur l’âme ; il faut tâcher de savoir, non ce que les hommes ont dit sur cette matière, mais ce que notre raison peut nous découvrir indépendamment de leur opinion.*
- Les inventions les plus étonnantes ne sont pas celles dont l’esprit humain puisse se glorifier, c’est à un instinct mécanique et au hasard qu’on doit la plupart des découvertes, et nullement à la philosophie.*
- Une révolution est une idée prise par les baïonnettes.
- Rien de plus impérieux que la faiblesse qui se sent appuyée de la force.
- Je sais, quand il le faut, quitter la peau du lion pour prendre celle du renard.
- Une révolution est l’un des plus grands maux dont le ciel puisse affliger la terre.*
- La force, quand on ne peut faire autrement, mais quand on est maître, justice vaut mieux.*
- De tout temps, la facilité et l’ignorance de la multitude ont été la cause de la plupart des guerres civiles.
- Le grand art, c’est de changer pendant la bataille. Malheur au général qui arrive au combat avec un système.
- L’habitude des faits les plus violents use moins le cœur que les abstractions : les militaires valent mieux que les avocats.
- Il n’y a que deux puissances dans le monde, le sabre et l’esprit. J’entends par l’esprit, les institutions civiles et religieuses. À la longue, le sabre est toujours battu par l’esprit.*
- La police n’est que la diplomatie en haillons.*
- Le cœur d’un homme d’État doit être dans sa tête.
- On gouverne mieux les hommes par leurs vices que par leurs vertus.
- Les gouvernements à contrepoids ne sont bons qu’en temps de paix.*
- Les impôts ne sont que de l’argent prêté ; ils viennent du peuple, il faut qu’ils retournent au peuple.
- La véritable richesse des états consiste dans le nombre d’habitants, dans leur travail et leur industrie.*
- La chute des préjugés a mis à nu la source des pouvoirs, les rois ne peuvent plus se dispenser d’être habiles.*
- On ne gouverne pas une nation éclairée par des demi-mesures ; il faut de la force, de la suite et de l’unité dans tous les actes publics. (Maximes de guerre et pensées)
- Lorsqu’un gouvernement est dépendant des banquiers pour l’argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du gouvernement qui contrôlent la situation, puisque la main qui donne est au-dessus de la main qui reçoit.
- L’imagination mène le monde.
- On croit que je pense vite. Erreur ! Je pense avant.
- Je gagne mes batailles avec le rêve de mes soldats.
- Quand on connaît le but où l’on doit marcher, avec un peu de réflexion, les moyens viennent facilement.
- Il faut toujours se réserver le droit de rire le lendemain de ses idées de la veille. (Maximes de guerre et pensées)
- Il n’y a que deux espèces de plans de campagne, les bons et les mauvais. Les bons échouent presque toujours par des circonstances imprévues qui font souvent réussir les mauvais.
- Un bon croquis vaut mieux qu’un long discours.
- On obtient tous des hommes en faisant appel à leur honneur.
- Il faut mener les hommes avec une main de fer dans un gant de velours.
- La froideur est la plus grande qualité d’un homme destiné à commander.
- Je ne crois pas au proverbe que, pour savoir commander, il faut savoir obéir.
- Il existe deux leviers pour faire bouger un homme ; la peur et l’intérêt personnel.
- L’art de gouverner consiste à ne pas laisser vieillir les hommes dans leur poste.*
- Les âmes fortes repoussent la volupté, comme les navigateurs évitent les écueils.
- L’amour-propre est le vent qui enfle les voiles et conduit leur vaisseau dans le port.*
- Sachez écouter, et soyez sûr que le silence produit souvent le même effet que la science.
- Le monde a l’habitude de faire de la place à l’homme dont les paroles et les actions montrent qu’il sait où il va.
- Mieux vaut mettre de la fierté dans son attitude que de se reconnaître d’avance vaincu. (Mémoires, Manuscrit de Sainte-Hélène)
- Il n’y a qu’un secret pour mener le monde, c’est d’être fort, parce qu’il n’y a dans la force ni erreur, ni illusion ; c’est le vrai, mis à nu. (Le manuscrit de Sainte-Hélène, 1821)
- Je redoute trois journaux plus que 100.000 baïonnettes.
- Un livre curieux serait celui dans lequel on ne trouverait pas de mensonge.
- La plupart de nos académiciens sont des auteurs qu’on admire en bâillant.*
- Il est plus facile de citer que d’imiter. (Le souper de Beaucaire, le 29 juillet 1793)
- Qu’est-ce que l’histoire, sinon une fable sur laquelle tout le monde est d’accord ?
- On tient fort à ce que les jeunes gens étudient la guerre dans les livres, c’est un bon moyen pour avoir de mauvais généraux.*
- Les vraies conquêtes, les seules qui ne donnent aucun regret, sont celles qu’on fait sur l’ignorance. (Maximes de guerre et pensées)
- Il est plus facile de faire des lois que de les exécuter.*
- Les lois claires en théorie sont souvent un chaos à l’application.
- Il faut rendre justice à ceux qui la méritent. (Le manuscrit de Sainte-Hélène, 1821)
- Il faut mener les hommes par les brides qu’ils ont aujourd’hui, et non par celles qu’ils avaient autrefois.*
- Le secret du législateur doit être de tirer parti même des travers de ceux qu’il prétend régir. (Cité par Las Cases dans le Mémorial de Sainte-Hélène)
- On ne fait pas des républiques avec de vieilles monarchies.*
- Un trône et ses poisons, à peine y est-on assis que l’on en sent la contagion.*
- Un souverain ne doit jamais ni plier ni s’attendrir. (Le manuscrit de Sainte-Hélène, 1821)
- La noblesse aurait subsisté si elle s’était occupée davantage des branches que des racines.
- Les vieilles monarchies recrépîtes ne durent qu’autant que le peuple ne sent pas sa force ; de pareils édifices périssent toujours par les fondements.*
- Il faut endormir le fanatisme afin de pouvoir le déraciner.
- La bonne politique est de faire croire aux peuples qu’ils sont libres.
- Le peuple a du jugement lorsqu’il n’est pas égaré par les déclamateurs. *
- La populace incorrigible montre en tous lieux le même esprit de démence.*
- L’homme n’est qu’un animal plus parfait que les autres et qui raisonne mieux.
- Tout devient facile quand on suit l’opinion. (Le manuscrit de Sainte-Hélène, 1821)
- Le peuple est le même partout. Quand on dore ses fers, il ne hait pas la servitude.*
- Dans les révolutions il y a deux sortes de gens, ceux qui les font et ceux qui en profitent.
- On ne conduit le peuple qu’en lui montrant un avenir : un chef est un marchand d’espérance.
- La calomnie est la fille du diable.*
- La diplomatie est la police en grand costume.
- Le mot de « vertu politique » est un non-sens.
- En politique, une absurdité n’est pas un obstacle.
- La répétition est la plus forte des figures de rhétorique.
- L’amour de la patrie est la première vertu de l’homme civilisé.*
- La haute politique n’est que le bon sens appliqué aux grandes choses.
- N’interrompez jamais un ennemi qui est en train de commettre une erreur.*
- Les oligarchies ne changent jamais d’opinion, leurs intérêts sont toujours les mêmes ! *
- Aux yeux des fondateurs des grands empires, les hommes ne sont pas des hommes, ce sont des instruments.
- Les lieux communs de la controverse sont passés de mode, ils ont fait place aux lieux communs de la politique.*
- La liberté politique bien analysée, est une fable convenue, imaginée par les hommes qui gouvernent, pour endormir les gouvernés.
- On ne devient pas athée par souhait.*
- Ma conscience est le tribunal où j’évoque ma conduite.
- L’église doit être dans l’état, et non l’état dans l’église.*
- Nous naissons, nous vivons, nous mourons au milieu du merveilleux.
- Nulle société ne peut exister sans morale. (Discours aux curés de la ville de Milan, le 5 juin 1800)
- La morale est un art conjectural, comme l’anthologie. Voilà ce qui caractérise une intelligence supérieure.*
- Une Société sans religion est comme un vaisseau sans boussole. (Discours aux curés de la ville de Milan, 5 juin 1800)
- Demander jusqu’à quel point la religion est nécessaire au pouvoir politique, c’est demander jusqu’à quel point on peut faire la ponction à un hydropique ; tout dépend de la prudence du médecin.*
- Le succès suit le grand homme.*
- Je n’ai qu’un besoin, celui de réussir.
- Du sublime au ridicule, il n’y a qu’un pas.
- Vaincre n’est rien, il faut profiter du succès.*
- Le doute est l’ennemi des grandes entreprises.
- Rien n’augmente les bataillons comme les succès.*
- La victoire a cent pères et la défaite est un orphelin.
- La faute est dans les moyens bien plus que dans les principes.
- La paix est un mot vide de sens ; c’est une paix glorieuse qu’il nous faut.
- Il faut changer de tactique tous les dix ans si l’on veut maintenir sa supériorité.
- C’est le succès qui fait les grands hommes, il n’y a pas plus éloquent que le succès.
- Vers le succès, c’est le premier pas qui coûte. (Le manuscrit de Sainte-Hélène, 1821)
- N’affrontez pas trop souvent le même ennemi, vous pourriez lui enseigner votre art de la guerre.
- Les échecs, c’est trop difficile que pour être un jeu, et pas assez sérieux que pour être une science ou un art.
- Le véritable héroïsme consiste à être supérieur aux maux de la vie.*
- La tragédie échauffe l’âme, élève le cœur, peut et doit créer des héros.
- Qui ne pratique la vertu que dans l’espérance de la renommée est près du vice.*
- Les hommes de génie sont des météores destinés à brûler pour éclairer leur siècle. (Discours de Lyon, 1791)
- Il y a des gens qui ne sont vertueux que parce que les occasions du vice leur manquent.*
- Qui sait flatter sait aussi calomnier.
- Il faut vouloir vivre et savoir mourir.
- Le temps est le grand art de l’homme.
- La liberté seule permet de dire la vérité.*
- L’avenir d’un enfant est l’oeuvre de sa mère.
- Le hasard est le seul roi légitime dans l’univers.*
- Jette tes soucis lorsque tu jettes tes vêtements la nuit.
- La sévérité prévient plus de fautes qu’elle n’en réprime.
- Il est dans la vie des caméléons qui se glissent partout.
- L’absence guérit les petites passions et accroît les grandes.
- Les décorations sont des hochets pour amuser les hommes.
- Le meilleur moyen de tenir sa parole est de ne jamais la donner.
- Il est toujours vil et déshonorant de calomnier celui qui est malheureux.
- En plongeant au fond des voluptés, on en rapporte plus de gravier que de perles.
- L’estime de ses contemporains est un bien plus réel que l’admiration de la postérité.
- La richesse ne consiste pas dans la possession de trésors, mais dans l’usage qu’on en sait faire.
- En tout et partout ce ne sont pas les entêtés de bonne foi qui sont à craindre, ce sont les hypocrites. (Les maximes et pensées)
- Il faut s’accoutumer à voir sans étonnement et sans envie ce qui est au-dessus de nous, et sans mépris ce qui est au-dessous.*
- Dans tout ce qu’on entreprend, il faut donner les deux tiers à la raison, et l’autre tiers au hasard. Augmentez la première fraction, et vous serez pusillanime. Augmentez la seconde, vous serez téméraire.
- Citations d’Albert Camus, René Descartes, Charles de Gaulle, Victor Hugo, Blaise Pascal, Antoine de Saint-Exupéry et Voltaire
- Toutes les personnes célèbres de ce site Internet
- Fondation Napoléon, Le Souvenir Napoléonien et Facebook sur Napoléon Bonaparte, liens externes
- L’Art de la guerre de Sun Tzu, lien externe
1) Citations sur l’audace et le courage :
2) Citations sur le bon sens :
3) Citations sur les circonstances, les conditions et les événements :
4) Citations sur les décisions :
5) Citations sur l’esprit et l’âme :
6) Citations sur la force, la guerre et la violence :
7) Citations sur les gouvernements :
8) Citations sur l’imagination et la réflexion :
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17) Citations sur la vertu :
18) Autres citations de Napoléon Bonaparte :
* : Citation extraite de : « Les maximes et pensées » par Napoléon Bonaparte
19) Courte biographie de Napoléon Bonaparte, ou Napoléon 1er (1769-1769) :
Napoléon Bonaparte était un général, homme d’État et empereur français né à Ajaccio, en Corse et mort sur l’île de Sainte-Hélène. Il est devenu l’un des leaders les plus importants de l’histoire de France et a joué un rôle déterminant dans l’histoire de l’Europe occidentale au début du 19ème siècle. En 1799, il a pris le pouvoir en France et a instauré un régime autoritaire, devenant Premier consul puis empereur en 1804. Sous son règne, la France a connu une expansion territoriale importante et a vu sa puissance militaire et économique augmenter. Malheureusement pour ce pays, ses ambitions ont également conduit à de nombreuses guerres et à la perte de nombreuses vies. Napoléon a été finalement été défait et exilé sur l’île de Sainte-Hélène, où il est mort en 1821. Sa vie et son règne ont continué à susciter de l’intérêt et de la controverse jusqu’à aujourd’hui.
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