Les 100 meilleures citations de MARTIN LUTHER KING Jr.
Table des matières :
- 1) Discours du prix Nobel de la paix, décembre 1964
- 2) Lettre de la prison de Birmingham, 16 avril 1963
- 3) Discours « J’ai un rêve », 28 août 1963
- 4) Autres citations de Martin Luther King avec référence
- 5) Autres citations de Martin Luther King sans référence
- Courte biographie de Martin Luther King
- Sujets complémentaires
- Je refuse d’accepter la notion cynique que nations après nations doivent descendre l’escalier militariste vers l’enfer de la destruction thermonucléaire.
- Je crois que la vérité et l’amour sans conditions auront le dernier mot effectivement. La vie, même vaincue provisoirement, demeure toujours plus forte que la mort.
- Je crois que la bonté pacifique deviendra un jour la loi. Chaque homme pourra s’asseoir sous son figuier, dans sa vigne, et plus personne n’aura plus de raison d’avoir peur.
- J’ose croire qu’un jour tous les habitants de la terre pourront recevoir trois repas par jour pour la vie de leur corps, pour l’éducation et la culture, pour la santé de leur esprit, l’égalité et la liberté pour la vie de leur cœur.
- Attendre a presque toujours signifié jamais.
- L’injustice partout est une menace pour la justice partout.
- Chacun a la responsabilité morale de désobéir aux lois injustes.
- Il ne peut y avoir de profonde déception s’il n’y a pas d’amour profond.
- La liberté n’est jamais donnée volontairement par l’oppresseur; elle doit être exigée par l’opprimé.
- Une compréhension superficielle de la part de personnes de bonne volonté est plus frustrante qu’un malentendu absolu de la part de personnes de mauvaise volonté.
- Nous devrons nous repentir dans cette génération non seulement pour les paroles et les actions haineuses des mauvaises personnes, mais pour le silence épouvantable des bonnes personnes.
- Nous qui nous engageons dans une action directe non-violente ne sommes pas les créateurs de tension. Nous ne faisons que faire remonter à la surface la tension cachée qui est déjà vivante.
- Je soutiens qu’un individu qui enfreint une loi que sa conscience lui dit est injuste et accepte volontairement la peine en restant en prison afin d’éveiller la conscience de la communauté face à son injustice, exprime en réalité le plus grand respect pour la loi.
- Comment déterminer si une loi est juste ou injuste ?… Toute loi qui élève la personne humaine est juste. Toute loi qui la dégrade est injuste… L’obéissance aux lois justes n’est pas seulement un devoir juridique, c’est aussi un devoir moral. Inversement, chacun est moralement tenu de désobéir aux lois injustes.
- Nous étions ici avant que les mots puissants de la Déclaration d’indépendance ne soient gravés sur les pages de l’histoire. Nos ancêtres travaillaient sans salaire. Et pourtant, d’une vitalité sans fond, ils ont continué à prospérer et à se développer. Si les cruautés de l’esclavage ne pouvaient pas nous arrêter, l’opposition à laquelle nous sommes maintenant confrontés échouera sûrement… Parce que le but de l’Amérique est la liberté, abusée et méprisée même si nous pouvons l’être, notre destin est lié au destin de l’Amérique.
- J’ai le rêve qu’un jour mes quatre enfants vivront dans une nation où ils ne seront pas jugés pour la couleur de leur peau, mais pour leur caractère.
- 1963 n’est pas une fin, mais un commencement. (…) Il n’y aura ni repos ni tranquillité en Amérique jusqu’à ce que le Noir obtienne ses droits de citoyenneté. (…)
- Je rêve qu’un jour sur les collines rouges de Géorgie, les fils d’anciens esclaves et les fils d’anciens propriétaires d’esclaves pourront s’asseoir ensemble à la table de la fraternité.
- Nous ne serons pas satisfaits tant que le Noir du Mississippi ne pourra pas voter, et le Noir de New York croira qu’il n’a rien en faveur de quoi il peut voter. Non! Non, nous ne sommes pas satisfaits, et nous ne serons pas satisfaits jusqu’à ce que « la justice dévale comme un torrent et le droit comme un fleuve puissant.
- Il y a cent ans, un grand Américain, à l’ombre de qui nous sommes aujourd’hui, a signé la Proclamation d’émancipation. Ce décret capital a fait se lever une grande lumière d’espoir sur les millions d’esclaves qui avaient été brûlés par les flammes de l’injustice. Ce fut comme une aurore joyeuse après la longue nuit de leur captivité.
- Mais un siècle plus tard, le Noir n’est toujours pas libre ; un siècle plus tard, la vie du Noir est toujours tristement ligotée par les menottes de la ségrégation et les chaînes de la discrimination ; un siècle plus tard, le Noir vit isolé sur une île d’indigence au milieu d’un vaste océan de prospérité ; un siècle plus tard, le Noir languit toujours dans les coins de la Société américaine et il vit comme en exilé sur sa propre terre.
- Le moment est toujours juste pour faire ce qui est juste. ~ (Discours du 22 octobre 1964 au Collège Oberlin)
- Celui qui accepte le mal sans lutter contre lui, coopère avec lui. ~ (Stride toward freedom)
- L’amour est la seule force capable de transformer un ennemi en ami. ~ (Sermon de Noël en prison en 1957)
- Les idéalistes ne sont pas souvent réalistes ni les réalistes souvent idéalistes. ~ (La force d’aimer)
- Aussi longtemps que l’esprit est mis en esclavage, le corps ne peut jamais être libre. ~ (Discours au SCLC, le 16 août 1967)
- La vie en sa perfection est une synthèse créatrice dans l’harmonie fructueuse des contraires. ~ (La force d’aimer)
- Tout ce que nous voyons n’est qu’une ombre projetée par les choses que nous ne voyons pas. ~ (The measure of the man)
- Croyez en vos rêves et ils se réaliseront peut-être. Croyez-en vous et ils se réaliseront sûrement. ~ (Discours prononcé en 1963 à Washington)
- Une loi ne pourra jamais obliger un homme à m’aimer, mais il est important qu’elle lui interdise de me lyncher. ~ (Wall Street Journal, 13 novembre 1962)
- Tant qu’un homme n’a pas découvert quelque chose pour lequel il serait prêt à mourir, il n’est pas à même de vivre. ~ (Discours à Detroit, 23 juin 1963)
- Nous devons apprendre à vivre ensemble comme des frères, sinon nous allons mourir tous ensemble comme des idiots. ~ (Discours à St Louis, Missouri, 22 mars 1964)
- La non-violence est une arme puissante et juste, qui tranche sans blesser et ennoblit l’homme qui la manie. C’est une épée qui guérit. ~ (Why we can’t wait)
- Quel est l’intérêt pour un homme de gagner le monde entier de moyens (avions, télévisions, éclairage électrique) s’il perd la fin : l’âme ? ~ (Sermon au Temple Israel of Hollywood, 25 février 1965)
- Nous sommes devenus voisins par nos progrès scientifiques et technologiques. Et maintenant, par notre engagement moral et éthique, nous devons faire de ce voisinage une fraternité. ~ (Discours du 31 mars 1968)
- La discrimination est un chien de l’enfer qui ronge les nègres à chaque instant de leur vie pour leur rappeler que le mensonge de leur infériorité est accepté comme vérité dans la Société qui les domine. ~ (Discours « Où allons-nous à partir d’ici? », 16 août 1967)
- Si vous ne pouvez pas voler, alors courez. Si vous ne pouvez pas courir, alors marchez. Si vous ne pouvez pas marcher, alors rampez, mais quoique que vous fassiez vous devez continuer d’aller de l’avant. ~ (Discours « au Spelman College Museum », avril 1960)
- L’amour n’est pas cet élément sentimental dont nous parlons, cette simple émotion. L’amour est une bonne volonté créatrice, compréhensive à l’égard de tous. Il est le refus de dominer quiconque. Parvenu au niveau de l’amour, de sa beauté et de son pouvoir, vous ne cherchez plus qu’à combattre les mauvais systèmes. Quant aux individus, qui peut-être sont pris dans un tel système, vous les aimez, tout en cherchant à vaincre ce système. ~ (Sermon : « Aimer vos ennemis »)
- Vivez les rêves que la vie vous défie de rêver.
- Laisse la haine à ceux qui sont trop faibles pour aimer.
- J‘ai vu trop de haine, c‘est pourquoi, j‘ai décidé d‘aimer.
- Les barricades sont les voix de ceux qu’on n’entend pas.
- Il faut opposer aux forces de la haine le pouvoir de l’amour.
- Au centre de la non-violence, se trouve le principe de l’amour.
- La haine engendre la haine ; la violence engendre la violence.
- Un homme ne peut pas monter sur ton dos sauf s‘il est courbé.
- Nous pouvons tous être grands, car nous pouvons tous donner.
- C’est seulement dans l’obscurité que vous pourrez voir les étoiles.
- Le pardon n’est pas un acte occasionnel, mais une attitude permanente.
- Nous devons accepter la déception finie, mais ne jamais perdre espoir infini.
- La question la plus essentielle de la vie est, que faites-vous pour les autres ?
- La sagesse de l’expérience devrait nous persuader que la guerre est obsolète.
- Celui qui est dépourvu du pouvoir de pardonner est dépourvu du pouvoir d’aimer.
- Tout le monde peut être important car, tout le monde peut servir à quelque chose.
- Il faut accepter les déceptions passagères, mais conserver l’espoir pour l’éternité.
- Nos vies déclinent le jour où nous devenons silencieux sur les choses qui comptent.
- Ce qui m’effraie, ce n’est pas l’oppression des méchants, c’est l’indifférence des bons.
- Il est tout simplement impossible d’obtenir la paix dans le monde sans respect mutuel.
- Une véritable paix n‘est pas que l‘absence de tensions, mais la présence de la justice.
- Avoir la foi, c’est monter la première marche même quand on ne voit pas tout l’escalier.
- Nous ne devons pas laisser notre protestation créatrice dégénérer en violence physique.
- Un véritable leader n’est pas celui qui recherche le consensus, mais celui qui le construit.
- Faites le premier pas avec foi. Vous n’avez pas à voir tout l’escalier, juste la première marche.
- Rien dans le monde n’est plus dangereux que l’ignorance sincère et la stupidité consciencieuse.
- Si l’on m’annonçait que la fin du monde est pour demain, je planterais quand même un pommier.
- Aujourd’hui, dans la nuit du monde et dans l’espérance, j’affirme ma foi dans l’avenir de l’humanité.
- À la fin, nous nous souviendrons non pas des mots de nos ennemis, mais des silences de nos amis.
- Une nation qui produit de jour en jour des hommes stupides achète à crédit sa propre mort spirituelle.
- Le vrai pacifisme n’est pas la non-résistance au mal, mais une résistance non-violente opposée au mal.
- Rien n’est plus tragique que de rencontrer un individu à bout de souffle, perdu dans le labyrinthe de la vie.
- La haine trouble la vie ; l’amour la rend harmonieuse. La haine obscurcit la vie ; l’amour la rend lumineuse.
- Je refuse de croire que les circonstances actuelles rendent les hommes incapables de faire une terre meilleure.
- Il faut développer et entretenir la capacité de pardonner. Celui qui en est dépourvu est dépourvu de la capacité d’aimer.
- Il ne s’agit plus de choisir entre la violence et la non-violence en ce monde, mais entre la non-violence et la non-existence.
- L’obscurité ne peut aider à sortir de l’obscurité : seule la lumière le peut. La haine ne peut vaincre la haine : seul l’amour le peut.
- Si l’on part du principe que la vie vaut d’être vécue, que l’humanité a le droit de survivre, il faut trouver une alternative à la guerre.
- La race humaine doit sortir des conflits en rejetant la vengeance, l’agression et l’esprit de revanche. Le moyen d’en sortir est l’amour.
- C’est à chacun d’entre nous de décider s’il marchera dans la lumière de l’altruisme créatif ou dans les ténèbres de l’égoïsme destructeur.
- Notre pouvoir scientifique a dépassé notre pouvoir spirituel. Nous savons guider des missiles, mais nous détournons l’homme de sa voie.
- Ce qui compte, chez un homme, ce n’est pas la couleur de sa peau ou la texture de sa chevelure, mais la texture et la qualité de son âme.
- Si tu ne peux pas voler, cours, si tu ne peux pas courir, marche, si tu ne peux pas marcher, rampe, mais continue d’avancer par tous les moyens.
- L’homme bon ne regarde pas les particularités physiques, mais sait discerner ces qualités profondes qui rendent les gens humains, et donc frères.
- Une injustice, où qu’elle se produise, est une menace pour la justice partout ailleurs, car nous sommes tous pris dans un tissu de relations mutuelles.
- L’homme courageux reste enthousiaste, même dans une situation désespérante ; le lâche, écrasé par les incertitudes de l’existence, perd le goût de vivre.
- Le passé est jonché des ruines des régimes tyranniques. Chaque ruine reflète non seulement les erreurs de l’homme, mais aussi sa capacité à les surmonter.
- Celui qui accepte passivement le mal est tout autant responsable que celui qui le commet. Celui qui voit le mal et ne proteste pas, celui-là aide à faire le mal.
- Il y a du bon dans le pire d’entre nous et un certain mal dans le meilleur de nous. Quand nous découvrons cela, nous sommes moins enclins à haïr nos ennemis.
- Si tu ne peux pas voler, alors cours. Si tu ne peux pas courir, alors marche. Si tu ne peux pas marcher, alors rampe, mais quoi que tu fasses, tu dois continuer à avancer.
- Toute l’humanité est impliquée dans un processus simple, et tous les hommes sont frères. Quand je fais du mal à mon frère, quoi qu’il me fasse, je me fais autant de mal à moi-même.
- La fonction éducative est d’apprendre aux autres à penser intensément et de penser de façon critique. L’Intelligence, plus le caractère – tels sont les véritables objectifs de l’éducation.
- Au bout du compte, ce qui donne la mesure d’un être humain, ce n’est pas son attitude lors de moments agréables, confortables, mais celle qu’il adopte à l’heure des défis et de la controverse.
- Un individu n’a pas commencé à vivre tant qu’il ne s’est pas élevé au-dessus du confinement étroit de ses préoccupations individualistes vers les préoccupations plus larges de toute l’humanité.
- Continue à ressentir le besoin d’être le premier. Mais je veux que tu sois le premier amoureux. Je veux que tu sois le premier dans l’excellence morale. Je veux que tu sois le premier en générosité.
- Les moyens par lesquels nous vivons ont dépassé les fins pour lesquelles nous vivons. Notre puissance scientifique a dépassé notre puissance spirituelle. Nous avons guidé des missiles et des hommes égarés.
- Il n’est pas très facile d’admettre que la force morale possède autant de pouvoir et de vertu que le coup de poing ; et que la maîtrise de soi qui refuse la riposte requiert plus de volonté et de courage que le réflexe automatique de rendre coup pour coup.
- Le pouvoir sans amour est dangereux et abusif, l’amour sans pouvoir est sentimental et anémique. Le pouvoir à son meilleur est l’amour implémentant la demande de justice, et la justice à son meilleur est le pouvoir corrigeant tout ce qui fait obstacle à l’amour.
- La mesure ultime d’un homme n’est pas où il se trouve dans des moments de confort et de commodité, mais où il se tient dans des moments de défis et de controverses. Le vrai voisin risquera sa position, son prestige et même sa vie pour le bien-être des autres.
- Souvent, les hommes se haïssent les uns les autres parce qu’ils ont peur les uns des autres ; ils ont peur parce qu’ils ne se connaissent pas ; ils ne se connaissent pas parce qu’ils ne peuvent pas communiquer ; ils ne peuvent pas communiquer parce qu’ils sont séparés.
- Le véritable altruisme ne se limite pas à la capacité de plaindre autrui ; c’est aussi la capacité de comprendre. La pitié n’est pas forcément grand-chose d’autre qu’une attention impersonnelle qui pousse à envoyer un chèque, alors que la véritable compréhension est l’attention personnelle qui exige le don de l’âme.
- Rendre coup pour coup, c’est propager la violence, rendre plus sombre encore une nuit déjà sans étoiles. Or les ténèbres ne peuvent se dissiper par elles-mêmes. C’est la lumière qui les chasse. De même, la haine ne supprime pas la haine. Seul l’amour y parviendra. C’est là la beauté de la non-violence ; libre d’entraves, elle brise les réactions en chaîne du mal.
- À nos adversaires les plus farouches, nous disons : « A votre capacité d’infliger la souffrance, nous opposerons notre capacité d’endurer la souffrance. À votre force physique nous répondrons par la force de nos âmes. Faites-nous ce que vous voulez, et nous continuerons à vous aimer. Nous ne pouvons, en toute bonne conscience, obéir à vos lois injustes, car la non-coopération avec le mal est, autant que la coopération avec le bien, une obligation morale.
- 1944 : À 15 ans, il entame sa première année au Morehouse College à Atlanta. Par la suite, obtiendra plus tard son diplôme et étudiera la théologie au Crozer Theological Seminary et à l’Université de Boston.
- 1953 : Il épouse Coretta Scott. Ils auront quatre enfants.
- 1954 : Il devient pasteur de l’église baptiste Dexter Avenue à Montgomery, Alabama.
- 1957 : Martin Luther King et d’autres leaders des droits civiques fonde la Southern Christian Leadership Conference. Une organisation qui a pour but d’aider à organiser des manifestations non violentes en faveur de la réforme des droits civils.
- 1963 : Il participe à l’organisation de la Marche sur Washington où il a prononcé son célèbre discours « I Have a Dream ».
- 1964 : Il devient reçoit le prix Nobel de la paix pour sa lutte non-violente contre les inégalités raciales. Il est également nommé Homme de l’année par Time Magazine.
- 1968 : Il prononce son dernier discours, « J’ai été au sommet de la montagne » à Memphis. Le lendemain, à l’âge de 39 ans, le Matin Luther King est assassiné alors sur le balcon de sa chambre d’hôtel.
1) Martin Luther King : Discours du prix Nobel de la paix, décembre 1964 :
2) Martin Luther King : Lettre de la prison de Birmingham, 16 avril 1963 :
3) Martin Luther King : Discours « J’ai un rêve », 28 août 1963 :
4) Autres citations de Martin Luther King avec références entre parenthèses :
5) Autres citations de Martin Luther King sans référence :
Courte biographie de Martin Luther King Jr. (1929-1968) :
Pasteur baptiste américain qui a lutté pour la défense des droits civiques des Noirs aux États-Unis, pour la paix et contre la pauvreté. Son action politique visait l’intégration des Noirs dans la Société américaine. Il a été lauréat du prix Nobel de la paix en 1964 pour sa lutte non-violente contre la ségrégation raciale et pour la paix. Son assassinat survenu à Memphis au Tennessee le 4 avril 1968 a fait de lui une personnalité mythique du XXe siècle. Depuis 1986, le troisième lundi du mois de janvier est le « Martin Luther King Day », un jour férié aux États-Unis.
Chronologie d’événements importants :