60 citations de George Bernard Shaw
- La pitié, c’est l’éboueur de la misère.
- Vivre ce n’est pas se trouver, c’est se créer.
- La vie est trop courte pour être prise au sérieux.
- Ma spécialité est d’avoir raison quand les autres ont tort.
- Tant que je désire quelque chose, j’ai une raison de vivre.
- La vie ne consiste pas à te trouver. La vie consiste à te créer.
- Les modes ne sont après tout que des épidémies provoquées.
- Sans art, la dureté de la réalité rendrait le monde insupportable
- L’argent ne vaut rien pour l’homme qui a plus que le nécessaire.
- Imagination est le début de la création. Imaginez ce que vous voulez.
- Le plus gros problème de communication est l’illusion qu’elle a eu lieu.
- Je dois ma célébrité au fait que je pense une ou deux fois par semaine.
- Ce qui flatte réellement un homme, c’est qu’on le juge digne d’être flatté.
- Etre patriote, c’est croire que votre pays a raison parce que vous y êtes né.
- Le sacrifice de nous-mêmes nous permet de sacrifier les autres sans honte.
- Garde la fenêtre de ton esprit ouverte, car c’est par là que tu dois voir le monde.
- La peur pousse les hommes à n’importe quelle décision extrême. (Sainte Jeanne)
- La vie, ce n’est pas vous trouver vous-même. La vie, c’est vous créer vous-même.
- Liberté implique responsabilité. C’est là pourquoi la plupart des hommes la redoutent.
- Celui qui peut, agit. Celui qui ne peut pas, enseigne. (Maximes pour révolutionnaires)
- Quand on ne peut pas apprécier ce qu’on a, il vaut mieux avoir ce qu’on peut apprécier.
- Tout gouvernement qui vole Pierre pour payer Paul dépend toujours du soutien de Paul.
- Les possibilités sont nombreuses une fois que nous décidons d’agir et de ne pas réagir.
- Prenez soin d’obtenir ce que vous aimez ou vous serez forcé d’aimer ce que vous obtenez.
- Le châtiment du menteur n’est pas qu’on ne le croit pas, c’est qu’il ne peut croire personne.
- Le propre d’une grande passion c’est de donner de l’importance aux espoirs les plus puérils.
- Il y a deux tragédies dans la vie. L’une est de ne pas réaliser ses rêves, l’autre est de les réaliser.
- L’art est un miroir magique que nous créons pour transformer les rêves invisibles en images visibles.
- Le succès ne consiste pas à ne jamais faire d’erreur, mais à ne jamais faire la même erreur deux fois.
- La sagesse ne se mesure pas à ce que nous avons vécu mais ce que nous sommes capables de vivre.
- L’adolescence est l’âge où les enfants commencent à répondre eux-mêmes aux questions qu’ils posent.
- L’homme est le seul animal qui rougisse ; c’est d’ailleurs le seul animal qui ait à rougir de quelque chose.
- Un révolutionnaire est celui qui désire mettre au rancart l’ordre social existant, afin d’en essayer un autre.
- La façon la plus sûre de ruiner un homme qui ne sait pas gérer son argent est de lui en donner davantage.
- Un homme se décrit toujours Inconsciemment lui-même Quand il décrit quelqu’un d’autre. (Sainte Jeanne)
- Ceux que nous appelions des brutes eurent leur revanche quand Darwin nous prouva qu’ils étaient nos cousins.
- Les révolutions n’ont jamais allégé le fardeau de la tyrannie, elles l’ont seulement transféré sur une autre épaule.
- Certains lisent parce qu’ils sont trop paresseux pour réfléchir. Le chemin de l’ignorance est pavé de bonnes éditions.
- Vous voyez les choses et vous dites : pourquoi ? Moi, je rêve de choses qui n’ont jamais existé et je dis : pourquoi pas ?
- Quand j’étais jeune, j’ai observé que neuf des dix choses que je faisais étaient des échecs, alors j’ai travaillé dix fois plus.
- L’explication du malheur de bien des gens, c’est qu’ils ont le temps de se demander s’ils sont heureux ou s’ils ne le sont pas.
- L’ennui de certaines conversations, c’est que les causeurs y parlent trop haut pour que leurs propos puissent nous endormir.
- Les journaux sont incapables, apparemment, de faire la distinction entre un accident de bicyclette et le déclin d’une civilisation.
- Une vie passée à faire des erreurs n’est pas seulement plus honorable, mais aussi plus utile qu’une vie passée à ne rien faire.
- La vie ne cesse pas d’être gaie parce que quelqu’un meurt, tout comme elle ne cesse pas d’être sérieuse quand les gens rient.
- Il y a deux sortes de savants : les spécialistes, qui connaissent tout sur rien, et les philosophes, qui ne connaissent rien sur tout.
- Un érudit est un paresseux qui passe son temps à étudier. Prenez garde à ses erreurs : elles sont plus dangereuses que ses lacunes.
- Selon moi, ma vie appartient à la collectivité ; aussi longtemps que je serai en vie, ce sera un privilège de faire ce que je peux pour elle.
- Il y a deux catastrophes dans l’existence : la première, c’est quand nos désirs ne sont pas satisfaits ; le seconde, c’est quand ils le sont.
- Ma méthode est de prendre le plus de soucis possible pour trouver la chose qu’il faut dire, et ensuite de la dire avec une légèreté extrême.
- Quand, dans ce monde, un homme a quelque chose à dire, la difficulté n’est pas de lui faire dire, mais de le dire trop souvent. (César et Cléopâtre)
- Les esprits supérieurs comprennent toujours difficilement qu’ils soulèvent des fureurs en faisant ressortir les stupidités de gens relativement bornés.
- L’imagination est le commencement de la création. On imagine ce que l’on désire, on veut ce que l’on imagine et finalement on crée ce que l’on veut
- Le progrès est impossible sans changements, et ceux qui ne peuvent jamais changer d’avis ne peuvent ni changer le monde ni se changer eux-mêmes.
- L’humanité serait depuis longtemps heureuse, si tout le génie que les hommes mettent à réparer leurs erreurs, ils l’employaient à ne pas les commettre.
- Le grand secret, ce n’est pas d’avoir de bonnes ou de mauvaises manières, c’est d’avoir les mêmes manières vis-à-vis de toutes les créatures humaines.
- Quand un homme désire tuer un tigre, il appelle cela : sport. Quand un tigre désire le tuer, l’homme appelle cela : férocité. (Maximes pour Révolutionnaires)
- Les gens qui arrivent à quelque chose dans ce monde sont ceux qui se lèvent, qui recherchent les circonstances qu’ils désirent et qui, s’ils ne les trouvent pas, les créent.
- Les gens raisonnables s’adaptent à leur entourage ; les gens déraisonnables veulent toujours changer le monde. Ce sont donc les gens déraisonnables qui font le progrès.
- De nos jours, l’homme du monde est celui qui a assez d’argent pour faire ce que feraient tous les sots, s’ils en avaient les moyens ; c’est-à-dire consommer sans produire.
- Je plains celui qui n’a pas été révolutionnaire à vingt ans : c’est qu’il manque de cœur. Je plains celui qui est toujours révolutionnaire à quarante ans : c’est qu’il manque de tête.
- L’homme raisonnable s’adapte au monde. Le déraisonnable persiste à vouloir adapter le monde à lui-même. Par conséquent tout progrès dépend de l’homme déraisonnable. (Maximes pour révolutionnaires)
Courte biographie de George Bernard Shaw (1856 – 1950) :
George Bernard Shaw était un dramaturge, écrivain et critique littéraire irlandais connu pour ses pièces de théâtre et ses ouvrages sur la politique et la société. Il est né le 26 juillet 1856 à Dublin et est décédé le 2 novembre 1950 à Ayot Saint Lawrence, en Angleterre. Shaw a étudié la musique et la littérature avant de se tourner vers le théâtre. Il est surtout connu pour ses pièces de théâtre qui mettaient en scène des personnages complexes et qui traitaient de sujets controversés tels que l’égalité des sexes et la politique. Ses pièces les plus célèbres sont « Pygmalion », « Saint Joan » et « Mrs. Warren’s Profession ». Shaw était également connu pour ses écrits sur la politique et la société et était un membre actif du mouvement socialiste. Il a publié de nombreux ouvrages, notamment « Man and Superman » et « The Intelligent Woman’s Guide to Socialism and Capitalism ». Shaw a reçu le Prix Nobel de littérature en 1925. Ses écrits sont encore lus et appréciés aujourd’hui par un grand nombre.