85 citations de Benjamin Franklin
- Le temps c’est de l’argent.
- Il n’y a pas de profit sans peine.
- Soyez vertueux, et vous serez heureux.
- Observe les hommes, toi-même le plus.
- On n’est jamais trop âgé pour s’instruire.
- Abréger son souper, c’est allonger sa vie.
- Le seul intérêt de l’argent est son emploi.
- Quand on a fini de changer, on a fini de vivre.
- L’homme en colère monte un cheval sauvage.
- Qui est riche ? Celui qui se réjouit dans sa part.
- Une once de prévention vaut une livre de guérison.
- Un homme replié sur lui-même ne sera jamais grand.
- Qui ne veut pas être conseillé, ne peut pas être aidé.
- Qui vit d’espérance court le risque de mourir de faim.
- Qui connaît beaucoup d’amis, ne connaît rien de la vie.
- L’œil d’un maître fait plus d’ouvrage que ses deux mains.
- Une profession est un emploi qui réunit honneur et profit.
- Celui qui peut avoir de la patience peut avoir ce qu‘il veut.
- En omettant de vous préparer, vous préparez votre échec.
- Tout ce qui a commencé dans la colère finit dans la honte.
- Ne parlez que de ce qui peut être utile à vous et aux autres.
- La bonté envers autrui est grande bonté envers soi-même.
- Quand on a bonne conscience, c’est Noël en permanence.
- Employez bien votre temps, si vous voulez mériter le repos.
- L’énergie et la persévérance conquièrent toutes les choses.
- La paresse va si lentement que la pauvreté l’atteint bientôt.
- Où il y a mariage sans amour, il y aura amour sans mariage.
- Dans ce monde, il n’y a rien d’assuré que la mort et les impôts.
- Nul ne connaît la valeur de l’eau jusqu’à ce que le puits tarisse.
- Béni sois celui qui n’attend rien parce qu’il ne sera jamais déçu.
- Le moyen de voir par la foi, c’est de fermer les yeux à la raison.
- Les soins qu’on prend pour soi-même sont toujours profitables.
- Manger de la viande, c’est commettre un homicide involontaire.
- Qui ne sait épargner à mesure qu’il gagne, mourra sans un sou.
- Si vous voulez avoir un serviteur fidèle, servez-vous vous-même.
- Un laboureur debout est plus grand qu’un gentilhomme à genoux.
- Être orgueilleux de sa vertu, c‘est s‘empoisonner avec un antidote.
- Le trop de confiance dans les autres est la ruine de bien des gens.
- Qui préfère la sécurité à la liberté aura vite fait de perdre les deux.
- Il ne faut qu’une petite voie d’eau pour submerger un grand navire.
- On avoue quelques défauts pour faire croire qu’on n’a que ceux-là.
- La motivation, c’est quand les rêves enfilent leurs habits de travail.
- Si l’homme réalisait la moitié de ses désirs, il doublerait ses peines.
- Ne remettez jamais à demain ce que vous pouvez faire aujourd’hui.
- Ceux qui se plaignent le plus, sont ceux qui sont le moins à plaindre.
- Un frère peut ne pas être un ami, mais un ami sera toujours un frère.
- Avez-vous quelque chose à faire pour demain ? Faites-le aujourd’hui.
- Il en va de la responsabilité de chaque citoyen de questionner l’autorité.
- Le bon sens, tout le monde en a besoin, peu l’ont et chacun croit l’avoir.
- Soyez toujours studieux en votre profession, et vous deviendrez savant.
- Ne crains pas les erreurs. Tu vas connaître l‘échec. Continue à d‘avancer.
- La possession de l’argent n’est avantageuse que par l’usage qu’on en fait.
- Renoncez à vos folies dispendieuses, et vous aurez moins à vous plaindre.
- Il n’y a jamais eu de bonne guerre ni de mauvaise paix. (Lettre à J. Quincy)
- Le malheur est bon à deux choses : à éprouver les amis, et à épurer la vertu.
- Un investissement dans la connaissance porte toujours les meilleurs intérêts.
- Aimes-tu la vie ? Alors ne gaspille pas ton temps, car il est l’essence de la vie.
- La richesse, ce qui compte, ce n’est pas d’en disposer, mais bien d’en profiter.
- Ou on se tient les coudes ou on tiendra séparément, mais au bout d’une corde.
- Si vous achetez ce qui est superflu, vous vendrez bientôt ce qui est nécessaire.
- Se coucher de bonne heure et se lever matin, procure santé, fortune et sagesse.
- Je ne dirai du mal de personne et je dirai tout le bien que je sais de tout le monde.
- II faut voir ses affaires avec ses propres yeux, et ne pas trop se confier aux autres.
- L’orgueil déjeune avec l’abondance, dîne avec la pauvreté, et soupe avec la honte.
- Celui qui trouve facilement des excuses est rarement bon à quoi que ce soit d’autre.
- Il est plus aisé de réprimer la première fantaisie que de satisfaire celles qui viennent.
- Si vous souhaitez un jour être riche, apprenez d’abord à compter avant de dépenser.
- Les lois trop douces ne sont pas suivies, les lois trop sévères ne sont pas appliquées.
- A vingt ans, c’est la volonté qui règne, à trente ans l’esprit, et à quarante le jugement.
- La colère n’apparaît jamais sans raison, mais elle apparaît rarement avec une bonne.
- N’apprenez pas seulement comment on gagne, apprenez aussi comment on épargne.
- Qui est d’opinion que l’argent peut tout faire pourra être suspecté qu’il fera tout pour l’argent.
- Un excellent moyen d’être content de sa situation, c’est de la comparer à une plus mauvaise.
- La paresse rend tout difficile ; le travail rend tout aisé. (L‘almanach du pauvre Richard, 1733)
- Dis-le-moi et je l’oublierai. Enseigne-le-moi et je m’en souviendrai. Implique-moi et j’apprendrai.
- Il y a bien des manières de ne pas réussir, mais la plus sûre est de ne jamais prendre de risques.
- L’oisiveté est comme la rouille ; elle use plus que le travail. (L‘almanach du pauvre Richard, 1733)
- Ne cachez pas vos talents. Ils sont faits pour être montrés. Qu’est-ce qu’un cadran solaire dans l’ombre ?
- Il y a deux passions qui ont toujours marqué les actions humaines ; l’amour du pouvoir et l’amour de l’argent.
- Les trois choses les plus difficiles dans ce monde sont : garder un secret, pardonner un grief et profiter du temps.
- La Constitution ne garantit pas le bonheur, seulement la poursuite de celui-ci. Vous devez le rattraper vous-même.
- N’anticipez pas sur les problèmes, ne vous inquiétez pas d’avance de ce qui n’arrivera peut-être pas. Restez au soleil.
- Si les gens malhonnêtes comprenaient l’avantage qu’il y a à être honnête, ils deviendraient honnêtes par malhonnêteté.
- L’humanité se divise en trois catégories ; ceux qui ne peuvent pas bouger, ceux qui peuvent bouger, et ceux qui bougent.
- Investissez le plus possible dans le développement de votre esprit. Comme ça personne ne pourra vous voler vos avoirs.
- Débarrassez-vous d‘une mauvaise habitude par an. En agissant ainsi, même le pire des hommes deviendrait un modèle de vertu.
- J’estime que la plus grande part des misères de l’humanité est due aux estimations erronées qu’elle fait quant à la valeur des choses.
- Beaucoup de chemins mènent à la réussite, mais un seul mène immanquablement à l’échec, celui qui consiste à vouloir plaire à tout le monde.
- Le bonheur humain n’est pas tant le produit des grands coups de bonne fortune qui arrivent rarement que celui des petits avantages qui ont lieu tous les jours.
- Rappelle-toi non seulement de dire la bonne chose au bon moment, mais beaucoup plus difficile encore, de laisser sous silence la mauvaise chose au moment de l’intérim.
Courte biographie de Benjamin Franklin (1706 – 1790) :
Écrivain, physicien, diplomate et homme politique américain, Benjamin Franklin joua un rôle déterminant dans la naissance des Etats-Unis. D’abord imprimeur, il se fait connaître par la popularité de ses almanachs. À partir de 1750, il réalise un grand nombre d’activités scientifiques dont les résultats participent de sa renommée en Europe. Il démontre notamment la nature électrique de la foudre. Ses travaux conduisent à l’invention du paratonnerre, dont les premiers exemplaires sont installés sur sa maison, sur l’Independence Hall ainsi que sur l’académie de Philadelphie. Il fait également des recherches dans le domaine de la météorologie. Il est même un des premiers à monter dans une montgolfière. Il a notamment inventé les lunettes à double foyer et un poêle à bois à combustion contrôlée, qui porte encore son nom. Comme Thomas Edison, c’est le côté concret et pratique de la science qui l’intéresse. Administrateur, philanthrope et élu de Philadelphie, il représente les habitants de Pennsylvanie à Londres. Maître des postes des colonies, il est chargé de protester contre les taxes britanniques au nom des colons. Co-rédacteur et signataire de la Déclaration d’indépendance des États-Unis, il est l’un des « pères fondateurs de ce pays dont il devint le premier ambassadeur en France. En 1783, il signe avec Adams et Jay le traité de paix qui garantit l’indépendance américaine. Ce traité met fin à la guerre d’indépendance. De retour en Amérique, il est élu de nouveau président de l’État de Pennsylvanie. Il participe aussi à la rédaction de la Constitution américaine. Il devient ainsi le seul « père fondateur de l’Amérique » à avoir signé les trois documents fondateurs des États-Unis : la Déclaration d’Indépendance, le traité de Paris et la Constitution américaine.
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