Les 65 meilleures citations d’Alexandre DUMAS, fils
- 1) Antonine, 1849
- 2) La Dame aux Camélias, 1848
- 3) Le Demi-monde, 1855
- 4) Les aventures de quatre femmes, 1847
- 5) Un cas de rupture, 1854
- 6) Un père prodigue, 1859
- 7) Citations avec références variées
- 8) Citations sans référence
- Courte biographie
- Liste de ses oeuvres principales
- Sujets complémentaires
- L‘homme qui se sent aimé est toujours fier de lui.
- Ce que j‘aime dans l‘amour, c‘est l‘amour lui-même.
- Trois ans passés avec la femme qu‘on aime, c‘est l‘éternité.
- Il ne faut pas remettre au lendemain ce qu‘on peut faire le jour même.
- La maladie est un avertissement que la Providence donne à l’homme.
- L‘esprit est ainsi fait, il va toujours chercher bien loin la raison d‘une chose qu‘il pourrait trouver tout près et sans effort.
- L‘amour est fait de choses indescriptibles, invisibles comme le parfum et comme le chant, qu‘on respire et qu‘on entend sans pouvoir les saisir ni les analyser.
- J’ai peu de temps à vivre sur cette terre que je souhaite le vivre le plus heureux possible ; et, quand la mort viendra, elle frappera une victime résignée, qui tombera en souriant.
- Voyez quelle couleur toute particulière ont les écrits des gens qui sont nés dans un village et qui y ont vécu leurs vingt premières années. Leurs sentiments et leur pensée conservent un parfum dont heureusement ils ne peuvent se défaire ; c‘est comme une odeur de thym, c‘est comme un reflet éternel de jeunesse et de printemps.
- Je sens que décidément je l‘aime ; je puis bien demander sa main à son père, quand je serai sûr qu‘elle m‘aime un peu ; et il n‘aura aucune raison de me la refuser. Nous passerons l‘hiver à Paris ; l‘été, nous irons sur les bords de la Loire, le fleuve des amours poétiques et sentimentales, et nous serons aussi heureux que des êtres humains peuvent l‘être.
- Que l‘espérance est une sainte et douce chose ! L‘espérance, cette planche que Dieu jette au milieu de tous les naufrages, à laquelle le naufragé peut toujours se cramponner un instant, et pendant cet instant croire encore à la vie ; l‘espérance, cette dernière et inépuisable monnaie du cœur avec laquelle notre pauvre nature humaine achète sa dernière émotion.
- La maladie a cela d’heureux qu’elle régénère les impressions, et, pendant quelque temps, vous fait envisager la nature sous un aspect nouveau. Comme elle vous a plus ou moins rapproché de la mort, c’est-à-dire de Dieu, elle vous donne une soif inaltérable de toutes les choses qui viennent de lui. Les arbres, les bois, les fleurs vous apparaissent comme des amis que l’on a craint de ne plus revoir, et que l’on retrouve toujours les mêmes, bons et affectueux.
- C‘est au lit des mourants que ceux qui les aiment voient reparaître tous les souvenirs qui se rattachent au temps où celui qu‘ils vont perdre était heureux, fort et souriant. Le passé revient, portant ses heures joyeuses, et les jetant au hasard sur le présent désolé, comme un enfant qui secouerait sur une tombe sa robe pleine de fleurs. Ces souvenirs sont plus cuisants encore lorsque c‘est dans le cœur d‘une mère qu‘ils se réveillent ; car, pour elle, le passé n‘a pas de limites.
- Quel sublime enfantillage que l’amour !
- On se console en racontant ce qu’on souffre.
- La vie est charmante, c’est selon le verre par lequel on la regarde.
- L’amour vrai rend toujours meilleur, quelle que soit la femme qui l’inspire.
- N‘estime l‘argent ni plus ni moins qu‘il ne vaut : c‘est un bon serviteur et un mauvais maître.
- S‘emparer d‘un cœur qui n‘a pas l‘habitude des attaques, c‘est entrer dans une ville ouverte et sans garnison.
- Quand tu souffriras beaucoup, regarde ta douleur en face : elle te consolera elle-même et t’apprendra quelque chose.
- On a toujours associé la campagne à l‘amour et l‘on a bien fait : rien n‘encadre la femme que l‘on aime comme le ciel bleu, les senteurs, les fleurs, les brises, la solitude resplendissante des champs ou des bois.
- Tout ou rien : Voilà ma devise.
- L‘amour ne va pas sans estime.
- Lorsqu‘on croit rencontrer le bonheur, il faut se hâter de le saisir.
- Si jeune que l‘on soit, le jour où l‘on perd sa mère, on devient vieux tout à coup.
- Le mariage est une chose grave, et quand il s‘agit d‘engager toute sa vie sur un mot, il faut y réfléchir longtemps.
- L’amour, il naît dans un sourire, et se noie dans une larme.
- La douleur qu‘on partage est un lien plus solide que l‘amour.
- Il n‘y a de véritable amour que celui qui commence par le pardon.
- L‘amour est une passion qui fatigue, et l‘amitié un sentiment qui repose.
- Il y a toujours un des deux partenaires qui aime plus, et l‘autre qui aime moins.
- L‘amour est une bascule dont les deux extrémités ne peuvent jamais être de niveau.
- Une illusion de moins, c‘est une vérité en plus.
- Plus un homme est civilisé, plus il s‘emprisonne.
- L‘amour est un vin qui a besoin d‘être goûté dans une coupe d‘or.
- Tout le monde est le prisonnier de quelqu‘un, ou de quelque chose.
- L‘amour est exigeant, il n‘admet pas qu‘on s‘occupe d‘autre chose que de lui.
- Dans les séparations momentanées, les liaisons se reposent et reprennent des forces.
- En prison on n‘est plus un père, un fils, un époux, un amant, un ami, un homme, on est un numéro.
- L‘amour le plus sincère n‘a jamais été que l‘ombre du bonheur, le plaisir n‘est que l‘ombre de l‘amour.
- Les loups ne se mangent pas entre eux.
- Le cœur est l‘étoffe qui se déchire le plus facilement, et qui se raccommode le plus vite.
- Nos mères savaient vieillir… elles acceptaient bravement et ingénument les cheveux blancs et les rides ; elles remplaçaient la beauté par l’esprit, la jeunesse par la grâce, la galanterie par la bonne humeur, l’amour par l’amitié.
- Le devoir est ce qu‘on exige des autres. ~ (Denise, 1885)
- Les affaires, c’est bien simple : c’est l’argent des autres. ~ (La Question d’argent)
- Voir c’est savoir, et savoir c’est prévoir. ~ (Une lettre sur les choses du jour, 1871)
- Il n’y a qu’un amour profond, sincère, inaltérable, c’est l’amour maternel. ~ (Le docteur Servans, 1849)
- L‘amour, quel qu‘il soit, est le premier élément de l‘art ; c‘est son air vital. ~ (L‘affaire Clémenceau,1866)
- L‘important, c‘est d‘aimer, de se sentir vivre et de donner la vie à d‘autres êtres. ~ (L‘affaire Clémenceau,1866)
- Il est plus facile d‘être bon pour tout le monde que pour quelqu‘un.
- Quand un homme a honte de lui, il est impitoyable pour les autres.
- On ne fait jamais le bien assez vite. Est-ce qu‘il a le temps d‘attendre ?
- L‘amour vrai rend toujours meilleur, quelle que soit la femme qui l‘inspire.
- Il faut aimer n‘importe qui, n‘importe quoi, n‘importe comment, pourvu qu‘on aime.
- Ceux qui lisent savent beaucoup ; ceux qui regardent savent quelquefois davantage.
- Laissez-les me jeter la pierre. Les tas de pierres, c‘est le commencement du piédestal.
- Que de routes prend et que de raisons se donne le cœur pour en arriver à ce qu‘il veut.
- Les résolutions sont comme les anguilles ; on les prend aisément. Le diable est de les tenir.
- Donnez de l‘argent, n‘en prêtez pas. Donner ne fait que des ingrats, prêter fait des ennemis.
- L‘honnêteté est la plus grande des malices, parce que c‘est la seule que les malins ne prévoient pas.
- Comment se fait-il que les enfants étant si intelligents, la plupart des hommes soient bêtes ? Cela doit tenir à l‘éducation.
- Ne discutez jamais, vous ne convaincrez personne. Les opinions sont comme des clous ; plus on tape dessus, plus on les enfonce.
- Si vous avez été amoureux, sérieusement amoureux, vous avez dû éprouver ce besoin d‘isoler du monde l‘être dans lequel vous vouliez vivre tout entier.
- On n‘a qu‘à rassembler sur la tombe d‘un homme de génie les pierres qu‘on lui a jetées de son vivant, et il aura une pyramide qui dépassera celle de Kéops.
- Il n‘y a qu‘un moyen légitime qui est le travail de se procurer de l‘argent, et comme une foule de gens ne veulent pas l‘employer, il en résulte une foule de malentendus.
- Le travail est indispensable au bonheur de l‘homme ; il l‘élève, il le console, et peu importe la nature du travail, pourvu qu‘il profite à quelqu‘un ; faire ce qu‘on peut, c‘est faire ce qu‘on doit.
- On peut devenir un peintre, un sculpteur, un musicien même à force d‘étude ; on ne devient pas un auteur dramatique. On l‘est tout de suite ou jamais, comme on est blond ou brun, sans le vouloir.
1) Citations d‘Alexandre Dumas fils : Antonine
2) Citations d‘Alexandre Dumas fils : La Dame aux Camélias
3) Citations d‘Alexandre Dumas fils : Le Demi-monde
4) Citations d‘Alexandre Dumas fils : Les aventures de quatre femmes
5) Citations d‘Alexandre Dumas fils : Un cas de rupture
6) Citations d‘Alexandre Dumas fils : Un père prodigue
7) Citations d‘Alexandre Dumas fils : références variées
8) Citations d‘Alexandre Dumas fils sans référence
Courte biographie d‘Alexandre Dumas fils (1824-1895)
Cet auteur dramatique est né à Paris d‘une aventure romantique de son père et de sa voisine de palier, Catherine Laure Labay. Alexandre Dumas père n‘a pas voulu le reconnaître initialement. Alexandre Dumas fils a donc eu une enfance difficile. Ce n‘est qu‘à l‘âge de 7 ans que son père décide enfin de faire de lui son enfant légalement. Il est alors retiré à sa mère et est placé en pension pour une dizaine d‘années. Alexandre Dumas, fils connaît le succès immédiatement avec son premier roman : La Dame aux camélias en 1848 (Wikisource). Admirateur de George Sand, il fait de nombreux séjours dans sa propriété de Nohant et adaptera pour la scène son roman Le Marquis de Villemer. Alexandre Dumas fils a souvent été raillé pour son soutien à l‘émancipation des femmes. Très marqué par son enfance douloureuse, il se fera le porte-parole des causes singulières et dénoncera les faits de société choquants. Il fut élu à l‘Académie française en1874. Il meurt le 27 novembre 1895 dans sa propriété des Yvelines et il fut inhumé au cimetière de Montmartre à Paris.
Œuvres principales d‘Alexandre Dumas, fils
- Aventures de quatre femmes et d‘un perroquet (1846-1847)
- Césarine (1848)
- La Dame aux camélias (1848) (Ebooks gratuits)
- Le Docteur Servan (1849)
- Antonine (1849)
- Le Roman d‘une femme (1849)
- Les Quatre Restaurations (1849-1851)
- Histoire de la loterie du lingot d‘or (1851)
- Tristan le Roux (1850)
- Trois Hommes forts (1850)
- Diane de Lys (1851)
- Le Régent Mustel (1852)
- Contes et Nouvelles (1853)
- La Dame aux perles (1853)
- Un cas de rupture (1854)
- Le Demi-monde (1855)
- Un père prodigue (1859)
- L‘affaire Clémenceau (1866)
- L‘Homme-femme (1872)
- La Question du divorce (1880)
- Les femmes qui tuent et les femmes qui votent (1880)
- Denise (1885)