- La paresse est un manque de courage.
- Entre presque oui et oui, il y a tout un monde.
- En te perdant, je sens que je t’aimais. (Adieu)
- Qu’est-ce donc qu’oublier si ce n’est pas mourir.
- Il faut aimer sans cesse après avoir aimé. Poésies
- Il vaut mieux faire que dire. (Pierre et Camille, chap. 2)
- Il n'y a pas d'amour sans confiance. (Fils du Titien, 1841)
- Il n’y a pas de vrai génie sans patience. (Le Fils du Titien)
- Aimer est quelque chose, et le reste n'est rien. (Idylle, 1850)
- Aimer, c’est se donner corps et âme, c’est faire un seul être de deux.
- L’absence ni le temps ne sont rien quand on aime. (Poésies nouvelles)
- J’aime tous les vins francs parce qu’ils font aimer. (Coupe et les lèvres)
- Le soupçon détruit l'amour. (La confession d'un enfant du siècle, 1836)
- Le mal cherche le mal. (Les premières poésies, Les vœux stériles, 1831)
- La bouche garde le silence, pour écouter parler le cœur. (La Nuit de mai)
- Rien ne nous rend si grands qu'une grande douleur. (La nuit de mai, 1835)
- Quoi qu'on en dise, l'amour c'est l'espérance. (Nouvelles, Emmeline, 1841)
- Quand deux amoureux sont d’accord, les obstacles sont bien peu de chose.
- Qui j’ose aimer, Je ne saurais, pour un empire, vous la nommer. (Le Chandelier)
- Je ne sais où va mon chemin, mais je marche mieux quand ma main serre la tienne.
- Aimer, c'est une grande affaire ; il faut avoir du courage pour aimer. (Margot, 1838)
- Ce n’est quelquefois qu’en perdant ceux qu’on aime qu’on sent combien on les aimait.
- Heureux qui sait se faire aimer après sept années de mariage. (Lorenzaccio, I, 3, 1833)
- Dis-moi un peu d’où vient cette manie de n’être jamais ce qu’on est. (Le roman par lettres)
- Partons, dans un baiser, pour un monde inconnu. (Les poésies nouvelles, La nuit de mai, 1835)
- Une larme est ce qu'il y a de plus vrai, de plus impérissable au monde. (Le poète déchu, VII, 1839)
- Le bonheur n’est pas dans la recherche de la perfection, mais dans la tolérance de l’imperfection.
- Fais de ton amour un jour au lieu d'un songe. (Les poésies nouvelles, Se voir le plus possible, 1850)
- Souvent l’amour meurt parce qu’on ne fait pas, pour le conserver, tout ce qu’on avait fait pour l’inspirer.
- Prenez garde à un homme qui demande un pardon ; il peut avoir si aisément la tentation d’en mériter deux.
- Puisque c’est ainsi que va le monde, eh bien ! Nous le prendrons comme il est. (Les deux maîtresses, 1837)
- Je n'appartiens à personne ; quand la pensée veut être libre, le corps doit l'être aussi. (Lorenzaccio, II, 2, 1833)
- L'homme est un apprenti, la douleur est son maître. Nul ne se connaît tant qu’il n’a pas souffert. (La nuit d’Octobre)
- Tu trouveras, dans la joie ou dans la peine, ma triste main pour soutenir la tienne, mon triste cœur pour écouter le tien.
- L'amour, vous le savez, cause une peine extrême, c'est un mal sans pitié que vous plaignez vous-même. (À Ninon, 1837)
- Qu'importe de quoi parlent les lèvres, lorsqu'on écoute les cœurs se répondre. (La confession d'un enfant du siècle, 1836)
- Quel que soit le chemin, quel que soit l'avenir, le seul guide en ce monde est la main d'une amie. (Les poésies nouvelles, 1850)
- Une larme en dit plus que tu n'en pourrais dire ; une larme a son prix, c'est la sœur d'un sourire. (Les poésies nouvelles, Idylle, 1839)
- Prenez de l'amour ce qu'un homme sobre prend de vin, mais ne devenez pas un ivrogne. (La confession d'un enfant du siècle, 1836)
- Tant qu'un grain d'amitié reste dans la balance, le souvenir souffrant s'attache à l'espérance. (Les premières poésies, Namouna, 1832)
- Les morts dorment en paix dans le sein de la terre. Ainsi doivent dormir nos sentiments éteints. Ces reliques du cœur ont aussi leur poussière.
- Trouver sur les lèvres d'un honnête homme ce qu'on a soi-même dans le cœur, c'est le plus grand des bonheurs qu'on puisse désirer. (Lorenzaccio, 1833)
- La poésie est si essentiellement musicale qu'il n'y a pas de si belle pensée devant laquelle le poète ne recule si sa mélodie ne s'y trouve pas. (Le poète déchu, VIII, 1839)
- Se voir le plus possible et s’aimer seulement, sans ruse et sans détours, sans honte ni mensonge, sans qu’un désir nous trompe, ou qu’un remords nous ronge, vivre à deux et donner son cœur à tout moment. (Poésies)
- Un artiste est un homme, il écrit pour des hommes. Pour prêtresse du temple, il a la liberté ; pour trépied, l'univers ; pour éléments, la vie ; pour encens, la douleur, l'amour et l'harmonie ; pour victime, son cœur ; pour Dieu, la vérité. (La coupe et les lèvres, 1832)
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