50 citations d’Albert Schweitzer
- Pensez parfois aux souffrances dont vous vous épargnez la vue.
- Celui à qui la souffrance est épargnée doit se sentir appelé à soulager celle des autres.
- L’enfant qui sait se pencher sur l’animal souffrant saura un jour tendre la main à son frère.
- Faites quelque chose tous les jours pour quelqu’un pour lequel vous n’êtes pas payé en retour.
- La vie devient plus difficile pour nous quand on vit pour les autres, mais elle devient aussi de plus en plus riche et heureuse.
- Il faut donner du temps à son prochain. Même si c’est peu, faites quelque chose qui ne vous rapportera rien de plus que le privilège de l’avoir fait.
- La gentillesse constante peut accomplir beaucoup. Comme le soleil fait fondre la glace, la gentillesse fait s’évaporer l’incompréhension, la méfiance et l’hostilité.
- Que chacun s’efforce dans le milieu où il se trouve de témoigner à d’autres une véritable humanité. C’est de cela que dépend l’avenir du monde. (Ma vie et ma pensée)
- Sauvegarder la vie est le seul bonheur qui compte.
- Le bonheur est la seule chose qui se double si on le partage.
- Le succès n’est pas la clé du bonheur. Le bonheur est la clé du succès. Si vous aimez ce que vous faites, vous allez réussir.
- Je ne connais pas votre destinée. Mais je sais cependant qui si vous ne trouvez pas une façon d’être utile aux autres, vous ne serez pas heureux.
- Le but de la vie humaine est de servir et de montrer de la compassion et la volonté d’aider les autres.
- Le but de toute vie humaine est de servir, de faire preuve de compassion et de vouloir aider les autres.
- Si votre compassion n’inclut pas tous les êtres vivants, alors il vous sera impossible de trouver la paix en vous-même.
- La compassion qui donne naissance à toute forme d’éthique ne peut atteindre son ampleur maximale que si elle embrasse tous les êtres vivants et ne se limite pas à l’humain.
- La première étape de l’évolution de l’éthique est un sentiment de solidarité avec les autres êtres humains.
- Laissez-moi vous donner une définition d’éthique : Il est bon de maintenir et de prolonger la vie; il est mauvais d’endommager et de détruire la vie.
- En tirant d’affaire un insecte en détresse, je ne fais que d’essayer de payer quelque chose de la dette toujours renouvelée par l’homme à l’égard des bêtes.
- La grande lacune de l’éthique jusqu’à présent est qu’elle croyait n’avoir affaire qu’à la relation de l’homme à l’égard des humains. Mais en réalité, il s’agit de son attitude à l’égard de l’univers et de toute créature. L’homme n’est moral que lorsque la vie en soi, celle de la plante et de l’animal aussi bien que celle des humains, lui est sacrée, et qu’il s’efforce d’aider dans la mesure du possible toute vie en détresse. (Ma vie et ma pensée)
- L’exemple à force d’autorité.
- Fais quelque chose de merveilleux, les gens pourraient l’imiter.
- Donner l’exemple n’est pas le principal moyen d’influencer les autres, c’est le seul moyen.
- J’ai toujours tenu fermement à la pensée que chacun de nous peut faire un peu pour apporter une partie de la misère à sa fin.
- Dès que l’homme ne prend pas son existence pour acquise, mais la voit comme quelque chose d’insondablement mystérieux, la pensée commence.
- La pensée qui est parvenue à la véritable profondeur est humble. Sa seule préoccupation est que la flamme qu’elle entretien brûle du feu le plus ardent et le plus pur, et non de savoir jusqu’où pénètre sa vérité. (Les Grands penseurs de l’Inde)
- Nous tous devons devenir plus humains si le monde doit devenir meilleur.
- Il ne faut pas croire tout ce qu’on nous dit de ceux qui ne pensent pas comme nous.
- De quelque côté qu’un homme se tourne. Il en trouvera un autre qui a besoin de lui.
- La preuve la plus élevée de l’esprit est l’amour. L’amour, la chose éternelle peut être déjà sur terre posséder telle qu’elle est.
- En dépit de tout, je garde la conviction que l’amour, la paix, la douceur et la bonté sont la force qui est au-dessus de tout pouvoir.
- Ma vie est mon argument.
- L’attitude de l’homme envers sa vie détermine sa destinée.
- Le respect de la vie m’offre mon principe fondamental de la moralité.
- La plus grande découverte de tous les temps est que les êtres humains peuvent modifier leur vie en modifiant leur attitude d’esprit.
- Dans la vie de tout le monde, à un moment donné, notre feu intérieur s’éteint. Il est ensuite enflammé par une rencontre avec un autre être humain. Nous devrions tous être reconnaissants pour ces gens qui raniment l’esprit intérieur.
- Je suis vie qui veut vivre, entouré de vie qui veut vivre. Chaque jour et à chaque heure cette conviction m’accompagne. Le bien, c’est de maintenir et de favoriser la vie ; le mal, c’est de détruire la vie et de l’entraver. (La civilisation et l’éthique, 1976)
- Chaque fois que je suis sur le point d’abîmer une vie quelconque, il faut que je me pose clairement la question de savoir si c’est nécessaire. Jamais je ne devrai m’autoriser à aller au-delà de l’indispensable, même dans des cas apparemment insignifiants. (La civilisation et l’éthique, 1976)
- L’homme qui pense éprouve le besoin de témoigner le même respect de la vie à toute volonté de vivre autre que la sienne. Il ressent cette autre vie dans la sienne. Il considère comme bon : de conserver la vie et d’élever à sa plus haute valeur toute vie susceptible de développement. Il considère comme mauvais : de détruire la vie, de nuire à la vie, d’empêcher de croître une vie susceptible de se développer. Tel est le principe absolu, fondamental de l’éthique, ainsi que le postulat fondamental de la pensée. (Ma vie et ma pensée)
- L’homme est un animal intelligent qui se comporte comme un imbécile.
- L’homme peut difficilement reconnaître les diables de sa propre création.
- Les gouvernements s’entendent lorsque les peuples les obligent à s’entendre.
- La tragédie de la vie est ce qui meurt à l’intérieur d’un homme pendant qu’il vit.
- L’homme a perdu la capacité d’anticiper et de prévenir. Il finira par détruire la terre.
- Un grand secret du succès est de vivre sa vie comme quelqu’un qui ne s’y habitue pas.
- L’idéal est pour nous ce qu’est l’étoile pour le marin. Il ne peut être atteint mais il demeure un guide.
- La vérité n’a pas d’heure, elle est de tous les temps, précisément lorsqu’elle nous paraît inopportune.
- Celui qui gagne de la force en surmontant des obstacles, possède la seule force qui peut surmonter l’adversité.
- Toute religion ou philosophie qui n’est pas basée sur le respect de la vie n’est pas une vraie religion ou philosophie.
- Qu’est-ce que le nationalisme ? C’est un patriotisme qui a perdu sa noblesse et qui est au patriotisme noble et raisonnable, ce que l’idée fixe est à la conviction normale.
- L’homme doit cesser d’attribuer ses problèmes à son environnement et réapprendre à exercer sa volonté, sa responsabilité personnelle dans le domaine de la foi et de la morale.
1) Citations d’Albert Schweitzer sur l’altruisme :
style= »text-align: center; padding-bottom: 0px; margin-bottom: 0″>Tableau représentant Albert Schweitzer peint par l’artiste Clara Ewald
2) Citations d’Albert Schweitzer sur le bonheur :
3) Citations d’Albert Schweitzer sur la compassion :
4) Citations d’Albert Schweitzer sur l’éthique :
5) Citations d’Albert Schweitzer sur les exemples :
6) Citations d’Albert Schweitzer sur la pensée :
7) Citations d’Albert Schweitzer sur les relations humaines :
8) Citations d’Albert Schweitzer sur la vie :
9) Autres citations d’Albert Schweitzer :
10) Courte biographie d’Albert Schweitzer (1875 – 1965) :
Albert Schweitzer était un philosophe, théologien et médecin allemand connu pour son œuvre de bienfaisance en Afrique. Il est né le 14 janvier 1875 à Kaysersberg, en Alsace (actuelle France) et est décédé le 4 septembre 1965 à Lambaréné, au Gabon. Schweitzer a étudié la philosophie, la théologie et la musique avant de se tourner vers la médecine. Il est surtout connu pour avoir fondé un hôpital dans la ville de Lambaréné, au Gabon, où il a passé de nombreuses années à soigner les populations locales. Schweitzer est également connu pour ses écrits sur la philosophie et la théologie, notamment son ouvrage « La Civilisation et Éthique de l’esprit », dans lequel il défend une éthique fondée sur la compassion et le respect de tous les êtres vivants. Il a reçu de nombreuses récompenses pour son œuvre de bienfaisance, notamment le Prix Nobel de la paix en 1952.