Changer nos pensées négatives

Devant chaque événement, devant chaque situation qui se présente, arrêtez-vous un moment pour en considérer au moins les deux aspects, ne vous limitez pas uniquement au côté négatif. Je ne dis pas, évidemment, qu’on doit se leurrer en disant toujours que tout est bien, mais on doit refuser de s’arrêter exclusivement sur le mal. Vous pensez qu’il n’y a, dans ce que je vous dis là, rien d’extraordinaire, que vous savez déjà tout ça… Alors, faites-le, si vous le savez ! Observez-vous et vous découvrirez combien de fois vous oubliez cette règle pour vous abandonner au mécontentement et au pessimisme. Et alors, non seulement vous ne raisonnez plus juste, mais vous empêchez votre âme de s’épanouir et de prendre son envol. C’est ainsi que l’on se détruit spirituellement et même physiquement. (Pensée du 22 octobre 2024)

Un verre d'eau à moitié plein

Image par Kaysias de Pixabay

Au lieu de souffrir toujours de ce qui vous manque, apprenez à vous réjouir de ce que vous avez. Que vous soyez chagriné un moment pour une vexation, une déception, un insuccès, bon, c’est normal. Mais vous êtes inexcusable de rester là à ruminer vos chagrins en oubliant toutes les autres raisons que vous avez d’être heureux et reconnaissant. (Pensée du 19 juin 2018)

Quels que soient les événements, certaines personnes sont habituées à n’en voir toujours que le bon côté, alors que d’autres, au contraire, ne voient que le côté négatif. D’une certaine façon, les unes et les autres ont raison, mais leur façon de voir agit différemment sur elles. D’un point de vue objectif, nous pouvons dire qu’un verre est à moitié plein ou à moitié vide, cela n’a aucune importance ; mais du point de vue subjectif, du point de vue de l’effet produit sur notre conscience, on peut dire aussi du point de vue magique, il y a une grande différence. Or, c’est le côté magique justement qui est essentiel. Si l’on s’habitue à voir les manques, les défectuosités, de plus en plus on va se montrer hargneux, aigri, découragé, parce que c’est ce qui arrive dès qu’on s’arrête sur les manques. Ces manques existent, c’est évident, mais la question n’est pas là ; la question, c’est de travailler avec tout ce que l’on a, et qui, si on veut bien le reconnaître, est immense, afin d’avancer de plus en plus dans la voie de l’évolution. (Pensée du 20 octobre 2011)

Textes d’Omraam Mikhaël Aïvanhov publié par www.prosveta.com

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