Vivre sans dévouement est impudent. ~ Raph Waldo Emerson
Le vrai nom du dévouement, c’est désintéressement. ~ Victor Hugo
Le dévouement d’un homme va souvent plus loin que lui. ~ Jean Jules Richard
Du dévouement à la reconnaissance, il y a infiniment loin. ~ Mirabeau
La vie n’a de prix que par le dévouement à la vérité et au bien. ~ Ernest Renan
Pour certaines natures, le dévouement est un instinct, un besoin. ~ Chatelain
Il y a quelque chose de plus fort que l’intérêt, c’est le dévouement. ~ G. de Lévis
Les amis montrent leur dévouement en cas d’ennuis, pas dans le bonheur. ~ Euripide
Le véritable dévouement est motivé par l’amour dépourvu de tout égoïsme. ~ Rick Hocker
Le dévouement change nos qualités en vertus, l’égoïsme les change en vices. ~ A. A. Pilavoine
Ce qui caractérise la véritable dignité morale de l’homme, c’est le dévouement. ~ G. de Staël
L’homme ne peut vivre que d’une flamme qui naît dans le dévouement et l’amour. ~ Abbé Pierre
Soyez dévoués les uns aux autres dans l’amour. Honorez-vous les uns les autres. ~ Anonyme
La vie doit être divisée entre l’intimité avec l’amour, et le dévouement avec l’amitié. ~ George Sand
Une âme admirable, et un cœur bien tendre, sont capables de tous les dévouements. ~ Henri-Frédéric Amiel (Journal intime, le 3 septembre 1880)
L’amour, le sacrifice, le dévouement, cette aide mutuelle doit être le but de l’humanité. ~ Maurice Donnay (Théâtre, 1919)
Pour comprendre le dévouement chez les autres, il faut en être susceptible soi-même. ~ Jean-Napoléon Vernier (Les fables, pensées et poésies, 1865)
L’homme ne peut vivre que d’une flamme. Une flamme qui naît dans le dévouement de l’amour. ~ Abbé Pierre
Ce qui fait une vie manquée, ce n’est point l’absence de bonheur, c’est l’absence de dévouement. ~ Henri-Frédéric Amiel (Journal intime, le 5 décembre 1872)
Il n’y a de dévouement que le dévouement qui obéit à l’amour, sans la juger la personne qui a besoin d’aide. ~ Anonyme
L’amour vrai a besoin de l’éternité pour son dévouement et ses espérances. Il se compose à la fois de l’infiniment grand et de l’infiniment petit. ~ Victor Hugo (Les misérables, 1862)
L’amour maternel est un sentiment fait de dévouement et d’égoïsme. La mère ne sent que son dévouement. Les étrangers sentent son égoïsme. ~ Diane de Beausacq (Les maximes de la vie, 1883)
Le dévouement perpétuel à ce qu’un homme appelle son entreprise ne peut être soutenu que par une négligence perpétuelle de bien d’autres choses. ~ Robert Louis Stevenson
L’amitié ne rend pas le malheur plus léger, mais en se faisant présence et dévouement, elle permet d’en partager le poids, et ouvre les portes de l’apaisement. ~ Tahar Ben Jelloun (Éloge de l’amitié, 1994)
Il est impossible de se dévouer à quelque chose ou à quelqu’un sans y mettre de l’amour. On épuise vite son argent et on est toujours limité en temps, tandis que les réserves du coeur sont inépuisables. ~ Inspiré d’André Bouvet
Rien ne remplace l’attachement, la délicatesse et le dévouement d’une femme ; on est oublié de ses frères et de ses amis ; on est méconnu de ses compagnons : on ne l’est jamais de sa mère ou de sa soeur. ~ Inspiré de François-René de Chateaubriand
Que les généreux n’attendent rien des malheureux qu’ils secourent, leur dévouement doit se suffire à lui-même. Le fait que tant d’individus ou de peuples, en situation difficile, refusent de se laisser traiter en victimes signifie qu’ils ne veulent pas de la miséricorde du monde. N’espérons pas d’eux qu’ils disent merci. Nous leur devons assistance, quoi qu’il arrive. ~ Pascal Bruckner (La sagesse de l’argent, 2016)
Sur un sentier raide et pierreux, j’ai rencontré une petite fille qui portait sur le dos son jeune frère. ”Mon enfant, lui dis-je, tu portes un lourd fardeau”. Elle me regarda et dit ; ”Ce n’est pas un fardeau, c’est mon frère !” Je restais stupéfait. Le mot de cet enfant s’est gravé dans mon cœur. Et quand la peine des hommes m’accable, que tout courage me quitte, le mot de l’enfant me rappelle. Ce n’est pas un fardeau que tu portes, c’est ton frère ! ~ Sagesse africaine
Les exemples de bienfaisance propagent dans la Société, comme une heureuse contagion, le goût de faire le bien. La vue d’un acte de dévouement sublime, spontané, provoque une généreuse émulation, et l’on se précipite au secours de ses semblables comme à une victoire dont on veut sa part ; on se jette au milieu des flammes de l’incendie, des flots où roulent les naufragés, des ruines qui engloutissent des familles ; ou bien on se dépouille de ce qu’on possède pour relever une soudaine infortune. ~ Louis-Auguste Martin (L’esprit moral du XIXe siècle, 1855)