WINSTON CHURCHILL : 105 citations et biographie
- 1) Attitude et motivation
- 2) Courage et volonté
- 3) Épreuves
- 4) Gouvernements et politiques
- 5) Guerres
- 6) Histoire
- 7) Leadership
- 8) Littérature et discours
- 9) Opinions
- 10) Relations humaines
- 11) Succès et échecs
- 12) Autres citations
- Courte biographie
- Oeuvres littéraires
- Mémoires
- Sujets complémentaires
- On crée son propre univers à mesure qu’on avance.
- Il n’y a qu’une réponse à la défaite, et c’est la victoire.
- Agissez toujours comme s’il était impossible d’échouer
- L’attitude est une petite chose qui fait une grande différence.
- Je suis un optimiste, il n’apparaît pas très utile d’être quoi que ce soit d’autre.
- Un pessimiste voit la difficulté dans chaque opportunité, un optimiste voit l’opportunité dans chaque difficulté.
- Vous avez des ennemis ? C’est bon. Cela signifie que vous avez défendu quelque chose, quelque part dans votre vie.
- Tous les êtres humains trébuchent un jour sur la vérité. La plupart se relèvent rapidement, secouent leurs vêtements et retournent à leurs préoccupations, comme si de rien n’était.
- Passer à l’action efface la peur. Qui ose gagne.
- Là où se trouve une volonté, il existe un chemin.
- Les arbres solitaires, s’ils poussent, deviennent forts.
- On ne devrait jamais tourner le dos à un danger pour tenter de le fuir. Si vous le faites, vous le multiplierez par deux. Mais si vous l’affrontez rapidement et sans vous dérober, vous le réduirez de moitié.
- Quelle est la raison de vivre, si ce n’est lutter pour de nobles causes et faire de ce monde confus un meilleur endroit pour ceux qui y vivront après que nous soyons partis ? (Liberalism and the Social Problem, 1909)
- N’abandonnez jamais. N’abandonnez jamais. Jamais, au grand jamais, n’abandonnez jamais en rien, si ce n’est pour l’honneur et le bon sens. Ne cédez jamais à la force. Ne cédez jamais à l’apparente puissance de l’ennemi…
- Vous vous demandez : quel est notre but ? Je réponds par un seul mot : la victoire, la victoire à n’importe quel prix, la victoire en dépit de toutes les terreurs, la victoire quelque longue et difficile que soit la route pour y parvenir, car sans victoire, il n’y a pas de survie. (Mentionné au parlement britannique le 13 mai 1940)
- Je suis certain qu’en ce jour, nous sommes les maîtres de notre destin, que la tâche qui nous a été dévolue n’est pas au-dessus de nos forces, que les douleurs et les fatigues de cette tâche ne dépasseront pas les limites de mon endurance. Tant que nous aurons foi en notre propre cause et la volonté inébranlable de gagner, la victoire ne nous sera pas refusée.
- Progresser, c’est se tromper… Je me suis souvent trompé.
- Laissons notre inquiétude devenir une réflexion et une planification.
- Mieux vaut prendre le changement par la main avant qu’il ne nous prenne par la gorge.
- Ne me faites pas d’objections. Les difficultés en feront assez d’elles-mêmes. (Les pensées)
- Tous les hommes font des erreurs, mais seuls les hommes sages apprennent de leurs erreurs.
- S’il faut céder, mieux vaut le faire avec la meilleure grâce possible. (Les mémoires de guerre, 1941-1945)
- Il ne faut jamais oublier, quand un malheur vous frappe, qu’il peut très bien vous épargner un ennui pire encore.
- Construire peut être le fruit d’un travail long et acharné ; détruire peut être l’œuvre d’une seule journée. (Les pensées)
- Quand survient un malheur, il est tout à fait possible qu’il vous évite un malheur plus terrible encore. Et, quand vous commettez une erreur grave, elle peut vous être plus utile que la décision la mieux pesée.
- Un avancement doit être dû au mérite et non à l’âge. (Savrola, 1900)
- Il n’y a pas de meilleur placement pour un pays que de mettre du lait dans des enfants.
- Un directeur d’école dispose de pouvoirs dont jamais Premier ministre ne fut investi. (Les pensées)
- Une société peut mourir de faim sans se révolter, mais enlevez-lui la justice et les couteaux sortiront.
- C’est une idée socialiste que de faire du profit un vice. Le vrai vice, pour moi, c’est de faire des pertes.
- Une politique d’apaisement face à la menace, c’est nourrir le crocodile en espérant être dévoré le dernier.
- Sous le capitalisme, les gens ont davantage de voitures. Sous le communisme, ils ont davantage de parkings.
- Constituer un nouveau gouvernement, c’est comme faire un puzzle avec les morceaux d’un kaléidoscope. (Les pensées)
- La politique, c’est comme quand on se réveille le matin : on ne sait jamais la tête de qui on va trouver sur l’oreiller. (Les pensées)
- Pour un responsable politique, il n’y a pas pire erreur que d’entretenir de faux espoirs, destinés à être balayés par les événements.
- Le vice inhérent au capitalisme consiste en une répartition inégale des richesses. La vertu inhérente au socialisme consiste en une égale répartition de la misère.
- Un bon politicien est celui qui est capable de prédire l’avenir et qui, par la suite, est également capable d’expliquer pourquoi les choses ne se sont pas passées comme il l’avait prédit.
- La politique est plus dangereuse que la guerre… À la guerre, vous ne pouvez être tué qu’une seule fois. En politique, plusieurs fois.
- En Angleterre, tout est permis, sauf ce qui est interdit. En Allemagne, tout est interdit, sauf ce qui est permis. En France, tout est permis, même ce qui est interdit. En U.R.S.S., tout est interdit, même ce qui est permis.
- Tenter d’entretenir de bonnes relations avec un communiste, c’est comme faire la cour à un crocodile : on ne sait jamais s’il faut le chatouiller sous le menton ou lui taper sur la tête ; quand il ouvre la bouche, on se demande s’il essaie de sourire ou s’il s’apprête à vous dévorer. (Les pensées)
- Un rideau de fer a été tiré sur l’Europe.
- La guerre est horrible, mais la servitude est pire. (Les pensées)
- À la guerre, la maxime « sécurité d’abord » mène tout droit à la ruine.
- J’aime mieux voir Londres en ruine que souillée par une ignoble servitude.
- Mieux vaut périr plutôt que d’accepter une violation de la Constitution. (Savrola, 1900)
- En temps de guerre, la vérité est si précieuse qu’elle devrait toujours être protégée par un rempart de mensonges.
- Je n’ai à offrir que du sang, de la peine, des larmes et de la sueur. (Mentionné au parlement britannique le 13 mai 1940)
- Jamais dans l’histoire des conflits, tant de gens n’ont dû autant à si peu. (20 août 1940, à Londres, Chambre des communes)
- Prenez les armes, et montrez votre valeur, soyez prêts au combat ; car il vaut mieux pour nous périr en combattant que d’affronter le spectacle de l’outrage fait à notre nation et à notre autel. (19 mai 1940, à Londres au studio de la BBC)
- Vous aviez à choisir entre la guerre et le déshonneur ; vous avez choisi le déshonneur et vous aurez la guerre. (Dans une lettre adressée à Chamberlain, Premier ministre du Mœurs, après la signature des accords de Munich avec Hitler en 1938)
- Cette guerre n’est pas une guerre de chefs de clans, ni de princes, de dynasties ou d’ambition nationale; c’est la guerre des peuples et des causes. Nombreux sont ceux qui serviront fidèlement, non seulement dans notre île, mais dans tous les pays, sans que jamais leur nom ne soit connu, ni que leurs actes soient consignés par écrit. C’est la guerre des Soldats Inconnus.
- L’histoire est écrite par les vainqueurs.
- Un peuple qui oublie son passé se condamne à le revivre.
- Je n’étais pas un lion, mais c’est à moi qu’est dévolue la tâche de rugir.
- Plus vous saurez regarder loin dans le passé, plus vous verrez loin dans le futur.
- La principale leçon de l’Histoire est que l’espèce humaine est incapable d’apprendre.
- Tout le monde a son heure de gloire, mais certaines heures durent plus longtemps que d’autres.
- Jeune homme, étudiez l’histoire. C’est dans l’histoire que résident tous les secrets de l’art de gouverner.
- J’ai pris soin de De Gaulle un peu comme on élève un jeune chien, mais il mord maintenant la main qui l’a nourri.
- L’histoire, avec sa lampe vacillante, avance d’un pas incertain sur les chemins du passé, en s’efforçant de reconstruire des scènes, de raviver ses échos, et de faire revivre avec de pâles lueurs les passions des jours révolus.
- La responsabilité est le prix de la grandeur.
- Là où il y a un grand pouvoir, il y a une grande responsabilité. (British Parliamentary Debates, 1906)
- Le vrai génie réside dans l’aptitude à évaluer l’incertain, le hasardeux, les informations conflictuelles. (Discours de mai 1940)
- Ce qui caractérise un grand homme, c’est sa capacité à laisser une impression durable aux gens qu’il rencontre. (Les pensées)
- L’influence bénéfique que les femmes de nos hommes d’État ont exercée sur la vie de leurs maris est un chapitre de l’histoire d’Angleterre qui reste à écrire…
- Avant d’inspirer des émotions, vous devez vous-même en être submergé. Avant de faire couler leurs larmes, les vôtres doivent couler. Afin de les convaincre, vous devez vous-même être convaincu.
- Un discours improvisé a été réécrit trois fois.
- L’histoire me sera indulgente, car j’ai l’intention de l’écrire.
- L’écriture est une aventure. Au début, c’est un jeu, puis c’est une amante, ensuite, c’est un maître et ça devient un tyran.
- Si nous sommes maîtres des mots que nous n’avons pas prononcés, nous devenons esclaves de ceux que nous avons laissé échapper.
- Il est une bonne chose de lire des livres de citations, car les citations lorsqu’elles sont gravées dans la mémoire, vous donnent de bonnes pensées. (Les pensées)
- Si deux hommes ont toujours la même opinion, l’un d’eux est de trop.
- Il n’y a aucun mal à changer d’avis. Pourvu que ce soit dans le bon sens.
- C’est une belle chose d’être honnête, mais il est également important d’avoir raison.
- Il vaut mieux faire l’information que la recevoir ; il vaut mieux être acteur que critique.
- La grande leçon de la vie, c’est que parfois, ce sont les fous qui ont raison. (Les pensées)
- Un fanatique est quelqu’un qui ne veut pas changer d’avis et qui ne veut pas changer de sujet.
- Tout le monde peut retourner sa veste, mais il faut un certain talent pour la remettre à l’endroit !
- Vous pouvez forcer les gens à vous obéir ou à se soumettre, mais vous ne pouvez pas les forcer à être d’accord.
- Certains hommes changent de parti en fonction de leurs opinions, d’autres changent d’opinion en fonction de leur parti.
- La critique peut être désagréable, mais elle est nécessaire. Elle est comme la douleur pour le corps humain elle attire l’attention sur ce qui ne va pas.
- Il est plus agréable d’avoir le pouvoir de donner que de recevoir.
- L’orgueilleux aimera mieux se perdre que de demander son chemin. (The Farewell)
- En ravalant des paroles méchantes sans les avoir dites, personne ne s’est jamais abîmé l’estomac.
- Il y a nécessairement dans la vie d’un homme d’État de nombreuses occasions où il dépend de l’amour, de la perspicacité, de la profonde compassion et du dévouement de sa femme.
- Ce n’est que quand il fait nuit que les étoiles brillent.
- La chance n’existe pas. Ce que l’on appelle chance, c’est l’attention aux détails.
- Le succès est la capacité de passer d’un échec à l’autre sans perdre ton enthousiasme.
- Lorsqu’on est victorieux, la qualité dont on doit toujours faire preuve, c’est la magnanimité.
- L’un des problèmes de notre société, c’est que les gens ne veulent pas être utiles, mais importants.
- Il ne sert à rien de dire « Nous avons fait de notre mieux ». Il faut réussir à faire ce qui est nécessaire.
- Ceux qui planifient font mieux que ceux qui ne planifient pas, même s’ils s’en tiennent rarement à leur plan.
- L’un des ingrédients les plus essentiels pour réussir, c’est d’avoir un bon, un persistant et infatigable ennemi.
- Tout le monde savait que c’était impossible à faire ; puis un jour est venu un homme qui ne le savait pas. Et il l’a fait.
- J’ai retiré plus de choses de l’alcool que l’alcool ne m’en a retiré.
- Un mensonge fait le tour du monde avant que la vérité ne soit apparue.
- Que la stratégie soit belle est un fait, mais n’oubliez pas de regarder le résultat.
- Le pouvoir de l’homme s’est accru dans tous les domaines, excepté sur lui-même.
- Pour s’améliorer, il faut changer. Donc, pour être parfait, il faut avoir changé souvent. (Les pensées)
- Je suis toujours prêt à apprendre, bien que je n‘aime pas toujours qu‘on me donne des leçons. (Les pensées)
- Ce n’est pas la fin. Ce n’est même pas le commencement de la fin. Mais c’est peut-être la fin du commencement.
- Tout homme devrait se demander chaque jour s’il n’est pas en train d’accepter trop facilement des solutions négatives.
- S’occuper des choses les plus sérieuses du monde n’est possible qu’à condition de comprendre aussi les choses les plus dérisoires.
- Toutes les grandes choses sont simples, et beaucoup peuvent être exprimées en un seul mot : liberté, justice, honneur, devoir, miséricorde, espoir.
- Vous commettez toutes sortes d’erreurs, mais tant que vous resterez généreux, sincères et passionnés. Vous ne risquerez pas de troubler la marche du monde ni même de la perturber sérieusement.
- Si la chrétienté n’était abritée dans les bras puissants de la science, science contre laquelle il [l’Islam] a lutté en vain, la civilisation de l’Europe moderne pourrait tomber, comme est tombée la civilisation de la Rome antique. (The River War, 1899)
Citations de Winston Churchill 1) Attitude et motivation :
Citations de Winston Churchill 2) Courage et volonté :
Citations de Winston Churchill 3) Épreuves :
Citations de Winston Churchill 4) Gouvernements et politiques :
Citations de Winston Churchill 5) Guerres :
Citations de Winston Churchill 6) Histoire :
Citations de Winston Churchill 7) Leadership et responsabilités :
Citations de Winston Churchill 8) Littérature et discours :
Citations de Winston Churchill 9) Opinions :
Citations de Winston Churchill 10) Relations humaines :
Citations de Winston Churchill 11) Succès et échecs :
12) Autres citations de Winston Churchill :
Brève biographie de Winston Churchill (1874-1965) :
Winston Churchill est l’un des plus grands hommes politiques du Royaume-Uni. Il est également un auteur de lettres prolifique et un grand orateur. Il est né dans une famille aristocratique de l’Angleterre en 1874. Ne disposant pas de fortune personnelle, il vit de l’écriture, en tant que journaliste et écrivain, ce qui lui vaut d’être lauréat du prix Nobel de littérature. Jeune homme, Churchill sert dans l’armée britannique. Sa carrière militaire l’amène en Inde, au Soudan et en Afrique du Sud, où il cherche surtout l’occasion de briller et de se faire connaître. Mais assez rapidement, pour des raisons financières, (l’armée paie beaucoup moins que le journalisme), il sert en tant que correspondant de guerre, écrivant des livres sur les campagnes auxquelles il participe. Il est élu au Parlement britannique pour la première fois en 1900. Député conservateur dès l’âge de 25 ans, il occupe plusieurs postes politiques au sein du gouvernement : ministre de l’Intérieur en 1909, Premier lord de l’Amirauté en 1911, ministre de la Guerre en 1919, secrétaire d’État aux colonies en 1921, ministre des Finances en 1924, et Premier ministre durant deux mandats, de 1940 à 1945 et de 1951 à 1955.
Avant la Première Guerre mondiale, pendant son mandat de Ministre du Commerce et secrétaire du Home Office, il participe à la création des premières lois sociales du Royaume-Uni. Mais plusieurs jugent que son bilan à ce poste est mitigé. L’économie n’est pas son domaine de prédilection, à la différence de la politique étrangère et militaire. Dans les années 1930, il n’est pas en phase avec le milieu politique de l’époque, et connaît alors une longue période difficile au moment même où, selon son âge et son expérience, il devrait être au sommet de sa carrière. Il devra attendre le début de la Seconde Guerre mondiale pour qu’il redevienne ministre en tant que Premier Lord de l’Amirauté. Après la démission de Neville Chamberlain le 10 mai 1940, il devient à 65 ans Premier ministre du Royaume-Uni. Il se révélera être un chef fermement décidé à conduire son pays à la victoire. Dans son premier discours, il déclare n’avoir rien à offrir que du sang, du labeur, des larmes et de la sueur. Ses nombreuses paroles frappantes motivent le peuple britannique et ses alliées. Grâce à son travail acharné, il deviendra l’un des principaux architectes de la victoire alliée contre les forces de l’Axe. Dans un premier temps, il se rapproche des États-Unis, puis conclut un accord avec Staline, mais reste méfiant à l’égard des communistes. Il gagne la guerre, mais perd les élections législatives de 1945. Il devient alors chef de l’opposition conservatrice, dénonçant dès 1946 le rideau de fer. Il redevient Premier ministre en 1951, et ce jusqu’à sa retraite, en 1955.
À sa mort, la reine lui fait l’honneur d’obsèques nationales, qui demeurent encore aujourd’hui l’un des plus importants rassemblements de chefs d’État dans le monde. Churchill a laissé un héritage compliqué. Souvenu par ses compatriotes pour avoir vaincu le régime obscur d’Hitler, il s’est classé en tête de la liste des plus grands Britanniques de tous les temps selon un sondage de la BBC en 2002, surpassant Charles Darwin et William Shakespeare. On lui reproche cependant son engagement inébranlable envers l’impérialisme britannique, démontrant ainsi une indifférence pour le sort des peuples colonisés.
Dates clés :
- 30 novembre 1874 : Naissance à Blenheim Palace
- 1893 : Entre à l’école militaire de Sandhurst
- 1895 : Correspondant de guerre à Cuba
- 1897 : Participe à la conquête de la Birmanie
- 1898 : Campagne militaire au Soudan avec Kitchener, il se fait notamment remarquer quand il engage une charge de cavalerie.
- 1899 : Défaite aux législatives à Oldham
- 1900 : Écrit son roman « Savrola »
- 1900 : Prisonnier des troupes de Louis Botha, il fait les journaux suite à son évasion rapide.
- 1904 : Quitte le parti conservateur pour rejoindre les libéraux
- 1908 : Ministre du Commerce
- 1908 : Il épouse Clementine Hozier
- 1911 : Premier lord de l’Amirauté
- 25 avril 1915 : Débarquement de Gallipoli
- 1 juillet 1917 : Ministre de l’armement
- 1929 : Quitte le gouvernement après la défaite des conservateurs aux législatives
- 5 septembre 1939 : Premier lord de l’Amirauté
- 10 mai 1940 : Churchill Premier ministre
- 3 juillet 1940 : La flotte française détruite à Mers-El-Kebir
- 7 août 1940 : Churchill reconnaît la légitimité du Général de Gaulle
- 14 août 1941 : Signature de la Charte de l’Atlantique
- 1er janvier 1942 : Naissance de la Déclaration des Nations Unies
- 28 novembre 1943 : Conférence de Téhéran avec Franklin Roosevelt et Joseph Staline
- 4 février 1945 : Ouverture de la conférence de Yalta
- 1er juillet 1945 : Quitte son poste de Premier ministre après une défaite aux élections
- 17 juillet 1945 : Conférence de Potsdam
- 1946 : Début de la guerre froide, le 5 mars il utilise pour la première fois l’expression « rideau de fer ».
- 7 mai 1948 : Congrès européen à La Haye
- 1953 : Churchill reçoit le prix Nobel de littérature
- 5 avril 1955 : Churchill se retire
- 24 janvier 1965 : Churchill meurt à l’âge de 90 ans à Hyde Park Gate, Londres
Oeuvres littéraires de Winston Churchill en ordre chronologique :
- 1898. The Story of the Malakand Field Force (La guerre du Malakand)
- 1899. The River War : an historical account of the reconquest of the Sudan (La guerre du fleuve)
- 1900. Savrola
- 1900. London to Ladysmith
- 1900. Ian Hamilton’s March
- 1903. Mr. Brodrick’s Army
- 1906. Lord Randolph Churchill
- 1906. For Free Trade
- 1908. My African Journey (Mon voyage en Afrique : 1908)
- 1909. Liberalism and the Social Problem
- 1910. The People’s Rights
- 1923-1931. The World Crisis (La crise mondiale)
- 1930. My Early Life (Mes jeunes années)
- 1931. India
- 1932. Thoughts and Adventures (USA: Amid These Storms) (Réflexions et aventures)
- 1933-1938. Biographie de Marlborough : (en) Marlborough: His Life and Times ; (fr) Marlborough, sa vie et son temps, en quatre tomes.
- 1938. Arms and the Covenant (While England Slept)
- 1939. Great Contemporaries (Mes grands contemporains)
- 1939. Step by Step 1936-1939 (Journal politique, 1936-1939)
- 1940. Addresses Delivered in the Year 1940
- 1941. Broadcast Addresses
- 1941. Into Battle (USA : Blood Sweat and Tears) (L’entrée en lutte)
- 1942. The Unrelenting Struggle (La lutte sans relâche)
- 1943. The End of the Beginning (La fin du commencement)
- 1944. Onwards to Victory (En avant vers la victoire)
- 1945. The Dawn of Liberation (L’aube de la Libération)
- 1946. Victory
- 1946. Secret Sessions Speeches (Mes discours secrets)
- 1946. War Speeches 1940-1945
- 1948-1954. The Second World War, 6 vol. (Le monde en crise / Mémoires de la Grande Guerre))
- 1948. The Sinews of Peace
- 1948. Painting as a Pastime
- 1950. Europe Unite
- 1951. In the Balance
- 1952. The War Speeches 1939-1945 (Les grands discours)
- 1953. Stemming the Tide
- 1956-1958. A History of the English-Speaking Peoples, 4 volumes. (Histoire des peuples de langue anglaise)
- 1961. The Unwritten Alliance
Mémoires de Winston Churchill sur la Deuxième Guerre mondiale : (‘Le monde en crise’) :
- I.1. L’orage approche. D’une Guerre à l’autre (1919-1939), iii-436 p., 2 cartes et un graphique,
- I.2. L’orage approche. La « drôle de Guerre » (3 septembre 1939-10 mai 1940), 390 p., 16 cartes,
- II.1. L’Heure tragique. La chute de la France (mai-décembre 1940), 387 p., 15 cartes et un schéma,
- II.2. L’Heure tragique. Seuls (mai-décembre 1940), 421 pp, 2 cartes et un schéma,
- III.1. La Grande Alliance. La Russie envahie (1er janvier-22 juin 1941), 509 p., 19 cartes et un fac-similé,
- III.2. La Grande Alliance. L’Amérique en guerre (22 juin 1941-17 janvier 1942), 462 p., 8 cartes et un fac-similé,
- IV.1. Le Tournant du destin. La ruée japonaise (18 janvier-3 juillet 1942), 498 p., 18 cartes,
- IV.2. Le Tournant du destin. L’Afrique sauvée (4 juillet 1942-5 juin 1943), 563 p., 18 cartes,
- V.1. L’étau se referme. L’Italie capitule (6 juin-12 novembre 1943), 383 p., 9 cartes et 2 graphiques,
- V.2. L’étau se referme. De Téhéran à Rome (13 novembre 1943-5 juin 1944), 389 p., 12 cartes,
- VI.1. Triomphe et tragédie. La Victoire (6 juin 1944-3 février 1945), 420 p., 15 cartes,
- VI.2. Triomphe et tragédie. Le rideau de fer (4 février 1945-26 juillet 1945), 451 p., 12 cartes, index.
Sujets complémentaires :